En effet après les exhibitions du mercredi, la délégation Suisse a rencontré la presse ce jeudi pour parler de ses impressions. Parmi cette délégation, on compte trois lutteurs dont deux actifs et un encadreur. Ruedi Schlafli, encadreur de lutteurs raconte que «la lutte existe en Suisse depuis maintenant plus de 500 ans». Ce qui montre que ce sport est très ancien en Suisse. Mais malgré cette ancienneté, la lutte n’occupe pas les premières places dans ce pays, le ski, le football entre autre sont les sports les plus aimés par le peuple suisse.
Plusieurs différences sont à noter entre la lutte sénégalaise et la lutte suisses. Si au Sénégal il y a plusieurs chutes possibles, en Suisse pour qu’il y ait chute il faut impérativement que le dos d’un des lutteurs touche le sol. Et les Suisses ne connaissent pas la lutte avec frappe. Les Suisses n’ont pas d’écuries, mais des clubs qui comptent de 15 à 30 membres au maximum, et on compte 150 clubs dans ce pays. Autre différence et pas des moindres, selon Ruedi Schlafli, c’est que les lutteurs suisses sont de purs amateurs, il n’y a aucun lutteur professionnel, en outre, tous les lutteurs ont un métier. En plus, pour garder l’identité culturelle de ce sport, Ruedi Schlafli explique que « l’argent et les publicités ne sont pas présents dans la lutte suisse, car ils pourrissent ce sport».
Par ailleurs, la délégation Suisse se dit être très impressionnée par la lutte sénégalaise à travers l’ambiance avec notamment, chants et danses. Des lutteurs comme Tyson, Yékini et Bombardier sont connu par les Suisses.
Plusieurs différences sont à noter entre la lutte sénégalaise et la lutte suisses. Si au Sénégal il y a plusieurs chutes possibles, en Suisse pour qu’il y ait chute il faut impérativement que le dos d’un des lutteurs touche le sol. Et les Suisses ne connaissent pas la lutte avec frappe. Les Suisses n’ont pas d’écuries, mais des clubs qui comptent de 15 à 30 membres au maximum, et on compte 150 clubs dans ce pays. Autre différence et pas des moindres, selon Ruedi Schlafli, c’est que les lutteurs suisses sont de purs amateurs, il n’y a aucun lutteur professionnel, en outre, tous les lutteurs ont un métier. En plus, pour garder l’identité culturelle de ce sport, Ruedi Schlafli explique que « l’argent et les publicités ne sont pas présents dans la lutte suisse, car ils pourrissent ce sport».
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