Les choses se précieuses dans le cadre du brûlot. Le Président de la République annonce la couleur depuis les Etats-Unis. Ce, après la démission du Général Fall pour se défendre. Mais que risque le Colonel, « Pour l’honneur de la gendarmerie sénégalaise » ? Les précisions du président Sall. Selon lui, ce n’est pas pour rien que la liberté du militaire est encadrée. « Le militaire a des obligations que n’a pas forcément le civil, parce que c’est un homme armé, c’est un homme qui dispose de la force, et en tant que tel on a encadré sa liberté, et c’est par une volonté. C’est donc par une volonté individuelle qu’on adhère à ce principe. Donc le militaire a des obligations, et s’il y a un manquement à ces obligations comme la publication d’un livre de cette nature pour un officier supérieur en activité, évidemment le règlement militaire va s’appliquer », tonne Macky qui poursuit.
Sur le second principe qu’il a posé avec « des problèmes dans le livre », ils sont entrain d’être examinés, dira par ailleurs le successeur de Wade qui sert, « j’ai moi-même demandé à l’inspecteur général des forces armées de faire une enquête par rapport aux allégations faites. Il a été rappelé lui, le colonel qui a fait cet ouvrage… et j’ai fait appeler …le général Fall qui lui-même a préféré être déchargé pour pouvoir éventuellement se défendre. Tout cela a été fait en peu de temps, il faut s’en réjouir ». Maintenant, « il ne faut pas aller vite en besogne, ce sont des questions qu’on ne peut pas traiter dans la rue. Ce sont des questions qui seront traitées de façon responsable comme on le fait dans un Etat de droit », conclut-il.
Affaire à suivre.
Sur le second principe qu’il a posé avec « des problèmes dans le livre », ils sont entrain d’être examinés, dira par ailleurs le successeur de Wade qui sert, « j’ai moi-même demandé à l’inspecteur général des forces armées de faire une enquête par rapport aux allégations faites. Il a été rappelé lui, le colonel qui a fait cet ouvrage… et j’ai fait appeler …le général Fall qui lui-même a préféré être déchargé pour pouvoir éventuellement se défendre. Tout cela a été fait en peu de temps, il faut s’en réjouir ». Maintenant, « il ne faut pas aller vite en besogne, ce sont des questions qu’on ne peut pas traiter dans la rue. Ce sont des questions qui seront traitées de façon responsable comme on le fait dans un Etat de droit », conclut-il.
Affaire à suivre.
Autres articles
-
Bénin-Niger: la guerre du pipeline
-
A Accra, Bassirou Diomaye Faye prône la tenue d’une nouvelle commission mixte de coopération
-
Le Président Diomaye nomme de hauts fonctionnaires de défense au niveau des départements ministériel
-
Trafic de drogues et de faux billets de banque : un phénomène qui inquiète selon commissaire Keïta
-
Campagne agricole 2024-2025 : Mabouba Diagne taille une part belle aux femmes