Dans un communiqué qui lui est attribué, le groupe jihadiste a annoncé son intention de «venger» les Peuls assassinés par la milice Dogon Dan Na Amassagou, derrière cette tuerie.
Outre la milice dogon, les jihadistes menacent aussi la France qu’ils accusent d’être en connivence avec les auteurs du massacre.
Rappelons que le GSIM, dirigé par Iyad Ag-Ghali, regroupe plusieurs organisations jihadistes présentes au Sahel, dont celle du Peul Amadou Kouffa, à la tête d'un groupe implanté dans le centre du Mali.Récemment, le GSIM a revendiqué l’attaque contre des soldats maliens, dans le camp militaire de Dioura, dans le centre du pays. Une attaque qui a eu lieu le 17 mars dernier et qui a fait près de 30 morts. Le groupe avait d’ailleurs revendiqué l’attaque en la présentant comme une opération exécutée par des hommes du Macina, groupe actif dans le centre du Mali, sous le commandement d’Amadou Koufa, en représailles aux crimes commis par le gouvernement et ses milices contre les Peuls du centre du Mali.
C’est dire que la nouvelle menace du GSIM est à prendre très au sérieux, surtout dans le contexte actuel d’exacerbation des tensions communautaires au centre du Mali.
Outre la milice dogon, les jihadistes menacent aussi la France qu’ils accusent d’être en connivence avec les auteurs du massacre.
Rappelons que le GSIM, dirigé par Iyad Ag-Ghali, regroupe plusieurs organisations jihadistes présentes au Sahel, dont celle du Peul Amadou Kouffa, à la tête d'un groupe implanté dans le centre du Mali.Récemment, le GSIM a revendiqué l’attaque contre des soldats maliens, dans le camp militaire de Dioura, dans le centre du pays. Une attaque qui a eu lieu le 17 mars dernier et qui a fait près de 30 morts. Le groupe avait d’ailleurs revendiqué l’attaque en la présentant comme une opération exécutée par des hommes du Macina, groupe actif dans le centre du Mali, sous le commandement d’Amadou Koufa, en représailles aux crimes commis par le gouvernement et ses milices contre les Peuls du centre du Mali.
C’est dire que la nouvelle menace du GSIM est à prendre très au sérieux, surtout dans le contexte actuel d’exacerbation des tensions communautaires au centre du Mali.
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