Des sources militaires dignes de foi ont confirmé à l'un des correspondants de la BBC à Bamako que plusieurs militaires manquaient à l'appel depuis vendredi, après des affrontements entre l’armée et les rebelles. Elles n’ont toutefois pas donné des chiffres précis.
Le gouvernement et ses alliés ont signé avec les séparatistes du nord un accord de non-agression, l'année dernière. Mais le cessez-le-feu est de plus en plus violé depuis que le gouvernement a saisi la ville de Ménaka, le mois dernier.
Les violences dans le nord du Mali continuent, malgré l'intervention menée par la France, qui a repoussé les combattants liés aux djihadistes d'Al-Qaida.
Ces derniers s'étaient infiltrés parmi les touareg et avaient pris le contrôle de deux tiers du pays en 2012.
Ce mois-ci, Bamako et les rebelles ont signé un accord, grâce à une médiation des autorités algériennes.
Certains groupes rebelles, dont la Coordination des mouvements de l'Azawad, avaient boycotté la cérémonie de signature de l'accord, à Bamako.
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