
Quelques militants du mouvement pour la renaissance du Cameroun, le parti de Maurice Kamto qui conteste les résultats officiels de la présidentielle camerounaise du 7 octobre, se sont rassemblés devant l'église catholique du centre-ville de Yaoundé, avant d'être dispersé par la police.
Une cinquantaine d'autres militants ont été arrêtés samedi à Douala lors d'une marche non autorisée, avant d'être libérés tard dans la soirée, après la pression des hommes politiques et de la société civile.
Vendredi soir, un tract non signé a circulé sur les réseaux sociaux appelant à la « résistance nationale au hold-up électoral », appelant notamment à marcher samedi à Douala.
Les militants du MRC ont été arrêtés durant cette marche, selon des sources concordantes.
Parmi les personnes arrêtées figure Me Michèle Ndoki, l'un des avocats de Maurice Kamto qui avait plaidé devant le Conseil constitutionnel pour dénoncer des « fraudes massives et systématiques ».
« Le siège du MRC à Douala a été saccagé », a affirmé Paul-Eric Kingue, poids lourd du camp Kamto et ancien directeur de campagne du candidat.
Vendredi, le ministre de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji, avait prévenu que « toutes les tentatives de troubles à l'ordre publique seraient traitées avec la plus grande fermeté ».
Une cinquantaine d'autres militants ont été arrêtés samedi à Douala lors d'une marche non autorisée, avant d'être libérés tard dans la soirée, après la pression des hommes politiques et de la société civile.
Vendredi soir, un tract non signé a circulé sur les réseaux sociaux appelant à la « résistance nationale au hold-up électoral », appelant notamment à marcher samedi à Douala.
Les militants du MRC ont été arrêtés durant cette marche, selon des sources concordantes.
Parmi les personnes arrêtées figure Me Michèle Ndoki, l'un des avocats de Maurice Kamto qui avait plaidé devant le Conseil constitutionnel pour dénoncer des « fraudes massives et systématiques ».
« Le siège du MRC à Douala a été saccagé », a affirmé Paul-Eric Kingue, poids lourd du camp Kamto et ancien directeur de campagne du candidat.
Vendredi, le ministre de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji, avait prévenu que « toutes les tentatives de troubles à l'ordre publique seraient traitées avec la plus grande fermeté ».
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