«Un peu avant 21 heures, nous sortons de l’appartement de Simon. A peine avions nous eu le temps de nous installer dans un taxi qu’un groupe d’une dizaine d’éléments de la Dic (Division des investigations criminelles) encercle le véhicule », raconte Aliou Sané, membre de Y’en a marre arrêté le 19 avril dernier.
Révélant qu’il a été arrêté en compagnie de deux autres personnes (Sofia et Pidi), le journaliste raconte dans le journal Les Echos, qu’ils ont été amenés manu militari au Commissariat central, menottes aux poings. Et c’est dans ce lieu qu’une découverte surprenante a été faie : celle de voir ses camarades de lutte et d’autres personnes arrêtées, traitées de façon inhumaine.
Car, informe-t-il, ils étaient tous nus, en dehors du caleçon qu’on leur avait laissé et ce, depuis le moment où ils avaient été arrêtés. Et ce n’est qu’après l’intervention d’un «haut responsable de la police qui arrive en même temps que nous», qui a mis fin à cette scène en intimant l’ordre de leur restituer leurs vêtements.
Parmi les détenus qui ont marqué le «Y’en a marriste» par ailleurs journaliste, figure une jeune femme dont le bébé âgé à peine d’un mois criait tout le temps, poussant les limiers à exiger que la maman le fasse taire.
Révélant qu’il a été arrêté en compagnie de deux autres personnes (Sofia et Pidi), le journaliste raconte dans le journal Les Echos, qu’ils ont été amenés manu militari au Commissariat central, menottes aux poings. Et c’est dans ce lieu qu’une découverte surprenante a été faie : celle de voir ses camarades de lutte et d’autres personnes arrêtées, traitées de façon inhumaine.
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