
Une vive altercation a opposé le marabout K. T. à son disciple. Le religieux n’a pas du tout apprécié que son disciple ne se soit pas prosterné devant lui. Au cours de cette confrontation, le Talibé a subi une incapacité de travail temporaire de six jours.
Selon le journal Bês Bi, lors du procès, C. T. Dione a déclaré : « Moi, j'étais à Dakar. C’est lui qui m’a appelé pour me confier les travaux chez lui. Quand je suis venu, il m'a reproché de ne pas m'être prosterné devant lui. Je lui ai répondu que son père était contre cela et que je ne croyais plus à ces choses-là. Il s’est énervé et s’est mis à m’insulter et à me frapper », a affirmé la partie civile.
Par ailleurs, il a poursuivi : « En 2009, je travaillais là-bas. J'étais un des fervents disciples de son père. Je suis boucher et c’est moi qui égorgeais tous les bœufs. En plus, c’est moi qui m’occupais des arbres. Le marabout m’a frappé et insulté, mais je n’ai pas voulu répondre. J’ai préféré porter plainte contre lui ».
Cependant, lorsque le président a rappelé au disciple qu’il avait blessé son guide religieux avec un coupe-coupe, Dione a répliqué qu’il ne faisait que se défendre. « Il refuse de me donner ce que mon père m'a légué. Il a mis la main sur mon dû ».
L’affaire sera mise en délibéré le 8 août prochain
Selon le journal Bês Bi, lors du procès, C. T. Dione a déclaré : « Moi, j'étais à Dakar. C’est lui qui m’a appelé pour me confier les travaux chez lui. Quand je suis venu, il m'a reproché de ne pas m'être prosterné devant lui. Je lui ai répondu que son père était contre cela et que je ne croyais plus à ces choses-là. Il s’est énervé et s’est mis à m’insulter et à me frapper », a affirmé la partie civile.
Par ailleurs, il a poursuivi : « En 2009, je travaillais là-bas. J'étais un des fervents disciples de son père. Je suis boucher et c’est moi qui égorgeais tous les bœufs. En plus, c’est moi qui m’occupais des arbres. Le marabout m’a frappé et insulté, mais je n’ai pas voulu répondre. J’ai préféré porter plainte contre lui ».
Cependant, lorsque le président a rappelé au disciple qu’il avait blessé son guide religieux avec un coupe-coupe, Dione a répliqué qu’il ne faisait que se défendre. « Il refuse de me donner ce que mon père m'a légué. Il a mis la main sur mon dû ».
L’affaire sera mise en délibéré le 8 août prochain
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