«Personnellement, c’est la première fois que des élections se déroulent au Sénégal, sans que je n’y mette un sous. Pourquoi je ne l’ai pas fait ? Parce que je suis fauché, puisque j’ai été victime d’un vol et tous les Sénégalais le savent. A chaque échéance électorale, je finançais, par mes propres moyens, les élections et cette fois-ci, je n’ai rien donné», a déclaré Me Abdoulaye Wade.
Mais cet état de fait n’a pas été un frein majeur quant à la détermination de ses camarades de parti puisque, soutient-il : «nos militants ont été présents dans tous les bureaux de vote et ils se sont battus comme ils l’ont pu. Cela montre une fois de plus que je suis âgé certes, mais que la relève est assurée».
Sur le statut du chef de l’opposition qui est l’un des points de la réforme, le 3e président de la République du Sénégal affirme qu’il ne va pas cracher là-dessus, d’autant plus que c’est lui qui en est l’instigateur : «J’ai entendu Macky Sall parler du statut de l’opposition. Mais il n’est pas besoin de rappeler à Macky Sall que c’est moi qui ai mis cette disposition dans la Constitution. Il n’y en a pas ailleurs en Afrique et c’est moi qui l’ai mise dans la Constitution», clame-t-il.
Et le prédécesseur de Macky Sall à la tête du Sénégal de continuer sur sa lancée : «J’ai entendu Macky Sall en parler et s’il me le proposait, je n’allais pas bouder. Mais, le Pds n’est pas le seul parti de l’opposition. Je pense que ce serait un dialogue entre les différents chefs de parti qui composent l’opposition. Parce que contrairement au Sénégal, le Canada dispose de deux partis».
Mais cet état de fait n’a pas été un frein majeur quant à la détermination de ses camarades de parti puisque, soutient-il : «nos militants ont été présents dans tous les bureaux de vote et ils se sont battus comme ils l’ont pu. Cela montre une fois de plus que je suis âgé certes, mais que la relève est assurée».
Sur le statut du chef de l’opposition qui est l’un des points de la réforme, le 3e président de la République du Sénégal affirme qu’il ne va pas cracher là-dessus, d’autant plus que c’est lui qui en est l’instigateur : «J’ai entendu Macky Sall parler du statut de l’opposition. Mais il n’est pas besoin de rappeler à Macky Sall que c’est moi qui ai mis cette disposition dans la Constitution. Il n’y en a pas ailleurs en Afrique et c’est moi qui l’ai mise dans la Constitution», clame-t-il.
Et le prédécesseur de Macky Sall à la tête du Sénégal de continuer sur sa lancée : «J’ai entendu Macky Sall en parler et s’il me le proposait, je n’allais pas bouder. Mais, le Pds n’est pas le seul parti de l’opposition. Je pense que ce serait un dialogue entre les différents chefs de parti qui composent l’opposition. Parce que contrairement au Sénégal, le Canada dispose de deux partis».
Autres articles
-
Kolda : l’APR mobilise ses troupes en perspective des prochaines échéances
-
Journée des Martyrs : "Sonko a désormais désigné Diomaye Faye comme nouvelle cible" (Thierno Alassane Sall)
-
Crise politique : "Il y a une ligne rouge que Diomaye et Sonko ne veulent pas franchir" (Analyste politique)
-
Budget 2026 : une enveloppe de plus de 728 milliards de F CFA pour le ministère des Infrastructures
-
Budget Infrastructures 2026 : 98 % des crédits dédiés à l'investissement




Kolda : l’APR mobilise ses troupes en perspective des prochaines échéances


