Les avocats de Ousmane Sonko ont fait face à la presse après leur décision de bouder la salle d'audience suite au refus de renvoi du procès au motif de l'absence de leur client Selon eux, il "n'y a pas de justice".
"Notre client ne pouvait pas comparaître pour des raisons médicales. Mais le tribunal aujourd'hui, est allé jusqu'à refusé d'ensemble le pourquoi notre client n'est pas là. C'est à partir de ce moment que nous avons compris qu'il ne s'agissait pas de juger M. Sonko mais il s'agissait d'utiliser la justice pour sanctionner monsieur Ousmane Sonko et en tirer d'autres avantages", a déclaré Me Saïd Lafourou.
Qui se dit "surpris et choqué que même la défense de la défense ait refusé de défendre la défense au Sénégal".
Au moment où les avocats de la défense parlent aux journalistes, l'audience se poursuit avec la plaidoirie des avocats de Mame Mbaye Niang. Ne craignez-vous pas que votre client soit condamné à votre absence". "On n'a rien à craindre de l'avenir quand le président recel le pire puisque le juge refuse de savoir pourquoi quelqu'un ne comparaît pas. Evidemment qu'on n'est pas dans une justice. Dans une justice moyenne, forcément on va sauver les apparences. Et quand on n'est pas prêt à sauver mes apparences on sait ce qui va se passer" , a-t-il déclaré.
Avant de conclure : "Nous ne sommes pas là pour être complice à la destitution de la justice ".
"Notre client ne pouvait pas comparaître pour des raisons médicales. Mais le tribunal aujourd'hui, est allé jusqu'à refusé d'ensemble le pourquoi notre client n'est pas là. C'est à partir de ce moment que nous avons compris qu'il ne s'agissait pas de juger M. Sonko mais il s'agissait d'utiliser la justice pour sanctionner monsieur Ousmane Sonko et en tirer d'autres avantages", a déclaré Me Saïd Lafourou.
Qui se dit "surpris et choqué que même la défense de la défense ait refusé de défendre la défense au Sénégal".
Au moment où les avocats de la défense parlent aux journalistes, l'audience se poursuit avec la plaidoirie des avocats de Mame Mbaye Niang. Ne craignez-vous pas que votre client soit condamné à votre absence". "On n'a rien à craindre de l'avenir quand le président recel le pire puisque le juge refuse de savoir pourquoi quelqu'un ne comparaît pas. Evidemment qu'on n'est pas dans une justice. Dans une justice moyenne, forcément on va sauver les apparences. Et quand on n'est pas prêt à sauver mes apparences on sait ce qui va se passer" , a-t-il déclaré.
Avant de conclure : "Nous ne sommes pas là pour être complice à la destitution de la justice ".
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