Zéro contentieux pour l’Etat du Sénégal, tel est le souhait du Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade qui a ordonné, à son Premier Ministre, le règlement de tous les contentieux d’ordre social dans lesquels l’Etat est impliqué directement ou indirectement. C’est ainsi qu’il a décidé de régler le cas des sociétés Jean Lefebvre, ex-Sotrac et ex-Sias. Cette décision qui lui tient à cœur a vu des instructions fermes se prendre dès son retour de vacances.
Parmi ces dossiers, le cas des ex travailleurs de la Société Industrielle d’Aménagement du Sénégal (SIAS) et de Jean Lefebvre Sénégal (JLS) semblent les plus urgents d’où le chef d’Etat a donné des instructions à Souleymane Ndéné Ndiaye pour qu’il diligente ces affaires dans lesquelles l’Etat est condamné à payer.
Me Wade a insisté sur la transparence et l’impartialité dans le règlement définitif de ces cas. Il n’a pas voulu cautionner cette approche ségrégationniste du problème du moins pas publiquement, et a enjoint au chef du gouvernement que le ministre des finances retienne un égal traitement pour tous sans toutefois enfreindre la bonne marche de la justice pour les cas où une information est déjà ouverte ou qu’un jugement est attendu.
Cependant Me Wade a aussi évoqué le cas des fournisseurs privés qui tardent à rentrer dans leurs fonds du fait d’une défaillance quelconque de l’Etat et de ces services.
Toutefois, cette décision du président Wade inquiète certains de ces proches. Selon nos confrères de « l’Observateur » certains libéraux pensent que le règlement d’un litige financier à de potentiels opposants à son régime (Bara Tall ; patron de Jean Lefebvre Sénégal) pourrait constituer pour eux un trésor de guerre pour les prochaines échéances électorales.
Parmi ces dossiers, le cas des ex travailleurs de la Société Industrielle d’Aménagement du Sénégal (SIAS) et de Jean Lefebvre Sénégal (JLS) semblent les plus urgents d’où le chef d’Etat a donné des instructions à Souleymane Ndéné Ndiaye pour qu’il diligente ces affaires dans lesquelles l’Etat est condamné à payer.
Me Wade a insisté sur la transparence et l’impartialité dans le règlement définitif de ces cas. Il n’a pas voulu cautionner cette approche ségrégationniste du problème du moins pas publiquement, et a enjoint au chef du gouvernement que le ministre des finances retienne un égal traitement pour tous sans toutefois enfreindre la bonne marche de la justice pour les cas où une information est déjà ouverte ou qu’un jugement est attendu.
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