Le leader de Pastef Les Patriotes et député à l’Assemblée nationale, Ousmane Sonko, est accusé de « viols répétitifs et menace de mort » par une jeune masseuse âgée de 21 ans du nom d’Adji Sarr. Réagissant sur ce dossier brûlant qui a suscité des violences sur toute l’entendue du Sénégal, la ordonnatrice adjointe de la plateforme, « Sénégal, Avenir Binu beug », Ndèye Fatou Ndiaye Blondin Diop, est d’avis que « c’est une affaire montée de toutes pièces ».
L’invitée de Jury du Dimanche (JDD), de ce 7 mars 2021 sur I-radio, se pose d’abord la question de question : « qui a pris cette fille (Adji Sarr) en charge lorsque cette affaire a éclaté ? ».
Revenant sur les faits, Mme Diop reconnaît que le principal accusé dans cette affaire, Ousmane Sonko est bien allé au salon de massage en question mais cela ne veut pas dire qu’il est auteur des faits qui lui sont reprochés. De l’autre côté, elle refuse de considérer la présumée victime, Adji Sarr, comme un citoyen lambda.
« Je suis d’accord à condition que cette fille soit libre ou à la limite vit avec son père ou sa mère pour qu’on dise un citoyen lambda. Mais suis désolée, cette fille qui est sensée travaillée dans un salon qui se retrouve un soir dans une voiture avec deux ou trois autres personnes identifiées avec des professions qui dépassent de loin son environnement, on parle d’avocats, de médecins, et qui à la fin de cette histoire, a pu passer en 1 heure de temps toute la procédure. Les faits ayant pu passer entre 23heures et 00 heures, elle a eu le temps d’être violée, d’écrire une plainte et de déposer tout ça avant minuit et d’arriver à avoir toute la république qui la met en dehors de tout circuit ».
« Pour moi, elle a été utilisée, cette petite-là », a-t-elle soutenue. Avant d’ajouter : « Ce n’est pas une affaire Adji Sarr. C’est une affaire de comment liquider un adversaire. L’Etat à affaire, qu’on le veuille ou non, au chef de l’opposition. »
L’invitée de Jury du Dimanche (JDD), de ce 7 mars 2021 sur I-radio, se pose d’abord la question de question : « qui a pris cette fille (Adji Sarr) en charge lorsque cette affaire a éclaté ? ».
Revenant sur les faits, Mme Diop reconnaît que le principal accusé dans cette affaire, Ousmane Sonko est bien allé au salon de massage en question mais cela ne veut pas dire qu’il est auteur des faits qui lui sont reprochés. De l’autre côté, elle refuse de considérer la présumée victime, Adji Sarr, comme un citoyen lambda.
« Je suis d’accord à condition que cette fille soit libre ou à la limite vit avec son père ou sa mère pour qu’on dise un citoyen lambda. Mais suis désolée, cette fille qui est sensée travaillée dans un salon qui se retrouve un soir dans une voiture avec deux ou trois autres personnes identifiées avec des professions qui dépassent de loin son environnement, on parle d’avocats, de médecins, et qui à la fin de cette histoire, a pu passer en 1 heure de temps toute la procédure. Les faits ayant pu passer entre 23heures et 00 heures, elle a eu le temps d’être violée, d’écrire une plainte et de déposer tout ça avant minuit et d’arriver à avoir toute la république qui la met en dehors de tout circuit ».
« Pour moi, elle a été utilisée, cette petite-là », a-t-elle soutenue. Avant d’ajouter : « Ce n’est pas une affaire Adji Sarr. C’est une affaire de comment liquider un adversaire. L’Etat à affaire, qu’on le veuille ou non, au chef de l’opposition. »
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