Karim Wade est sur le point de se perdre dans le tunnel judiciaire. Les dossiers s’empilent et son cas devient de plus en plus alambiqué. Deux nouvelles procédures qui devraient toutes les deux déboucher sur un mandat de dépôt sont enclenchée. L’une est toujours dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis gérées par la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) avec ce nouveau «rapport accablant», l’autre concerne sa gestion de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) et est conduite par le tribunal régional de Dakar.
Cette nouvelle mise en demeure découle, selon nos confrères du Quotidien, des informations à charge rapportées par les commissions rogatoires. Le procureur spécial près de la CREI, Alioune devrait dans les règles de la procédure faire «un réquisitoire supplétif» ce vendredi devant la Commission d’instruction dirigée par Cheikh Bèye. Le procureur devrait demander en conséquence un nouveau mandat de dépôt pour des faits supposés d’enrichissement illicite.
Dans ce tunnel judiciaire va s’ajouter un autre labyrinthe. La gestion de l’Agence nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) rattrape ainsi le fils de l’ancien président de la République. Au tribunal régional de Dakar, le procureur n’attend que la communication du rapport de l’Inspection générale d’Etat (IGE) sur l’ANOCI pour agir.
Ce rapport aurait mis à nu, selon toujours nos confrères, de graves fautes de gestions et de prévarication de deniers publics. C’est pour cette raison que le procureur Serigne Bassirou Gueye a retenu le principe d’ouvrir une information judiciaire devant le tribunal régional hors classe de Dakar pour des faits supposés de «détournement de deniers publics». Cette procédure devrait aussi déboucher sur un autre mandat de dépôt contre l’ancien ministre des Infrastructures, de la Coopération Internationale, des Transports aériens et de l’Energie.
Cette nouvelle mise en demeure découle, selon nos confrères du Quotidien, des informations à charge rapportées par les commissions rogatoires. Le procureur spécial près de la CREI, Alioune devrait dans les règles de la procédure faire «un réquisitoire supplétif» ce vendredi devant la Commission d’instruction dirigée par Cheikh Bèye. Le procureur devrait demander en conséquence un nouveau mandat de dépôt pour des faits supposés d’enrichissement illicite.
Dans ce tunnel judiciaire va s’ajouter un autre labyrinthe. La gestion de l’Agence nationale pour l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) rattrape ainsi le fils de l’ancien président de la République. Au tribunal régional de Dakar, le procureur n’attend que la communication du rapport de l’Inspection générale d’Etat (IGE) sur l’ANOCI pour agir.
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