Jean-Louis Gasset a réalisé une première semaine de rêve à l'Olympique de Marseille. Arrivé en catastrophe mardi dernier pour remplacer Gennaro Gattuso, licencié par l'OM, le technicien de 70 ans a permis à Marseille de retrouver le goût de la victoire, face au Shakhtar Donetsk jeudi en Europa League, puis dimanche contre Montpellier (4-1).
En plus de renouer avec la victoire, JL Gasset a aussi réussi à relancer certains joueurs et notamment Iliman Ndiaye buteur et auteur d'un gros match contre les Pailladins. Après la rencontre, Gasset a évoqué sa méthode pour transformer l'attaquant sénégalais, mais aussi Ismaïla Sarr, auteur d'un bon match contre Montpellier et buteur face aux Ukrainiens.
« Le discours pour relancer Sarr et Ndiaye ? Que ce sont des joueurs avec du potentiel. Pendant les premiers jours, il fallait d'abord parler avec les cadres pour les remonter, et ensuite parler avec les jeunes joueurs, des joueurs d'avenir, mais ici, c'est dur. Et s'ils avaient été choisis, leur faire comprendre qu'ils allaient y arriver. Moi, je les connaissais, puisque j'ai travaillé un peu en Afrique, donc je connaissais bien le Sénégal, toutes les équipes. Et quand je les voyais jouer, je me disais, 'wow, il y a du potentiel'. Mais pour s'exprimer à Marseille, au Vélodrome, devant 60 000 personnes, ça ne vient pas comme ça. Il faut un petit déclic, un petit laps de temps, et c'est ce que je leur ai dit », a déclaré Jean-Louis Gasset.
En plus de renouer avec la victoire, JL Gasset a aussi réussi à relancer certains joueurs et notamment Iliman Ndiaye buteur et auteur d'un gros match contre les Pailladins. Après la rencontre, Gasset a évoqué sa méthode pour transformer l'attaquant sénégalais, mais aussi Ismaïla Sarr, auteur d'un bon match contre Montpellier et buteur face aux Ukrainiens.
« Le discours pour relancer Sarr et Ndiaye ? Que ce sont des joueurs avec du potentiel. Pendant les premiers jours, il fallait d'abord parler avec les cadres pour les remonter, et ensuite parler avec les jeunes joueurs, des joueurs d'avenir, mais ici, c'est dur. Et s'ils avaient été choisis, leur faire comprendre qu'ils allaient y arriver. Moi, je les connaissais, puisque j'ai travaillé un peu en Afrique, donc je connaissais bien le Sénégal, toutes les équipes. Et quand je les voyais jouer, je me disais, 'wow, il y a du potentiel'. Mais pour s'exprimer à Marseille, au Vélodrome, devant 60 000 personnes, ça ne vient pas comme ça. Il faut un petit déclic, un petit laps de temps, et c'est ce que je leur ai dit », a déclaré Jean-Louis Gasset.
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