À l’instar des commerçants de Grand Yoff et de la Patte-d’Oie, les habitants du Parc à Mazoute sis à Colobane ont été déguerpis le jeudi 18 avril.
Des familles Sénégalaises et 300 mendiants étrangers ont été contraints de quitter les lieux. Réputé être une niche d’agresseurs, le Parc à Mazout de Colobane a été rasé, sous la supervision du sous-préfet de Dakar Djiby Diallo, en présence des forces de l’ordre.
Jadis cadre d’épanouissement prisé des jeunes de Colobane et site de prière pour les fêtes de Korité et Tabaski, le Parc à Mazout a viré en une cité criminogène. Il sera squatté par une forte communauté étrangère en majorité des Nigériens en plus de l'installation de cantines sauvages.
Une occupation anarchique qui n’est pas du goût des habitants de Colobane et de la collectivité Lébou qui en sont les propriétaires légaux. D’ailleurs, c’est la collectivité Lébou qui a demandé aux autorités compétentes d’organiser une opération de déguerpissement du site devenu dangereux pour usagers et passants.
Selon le sous-préfet, à deux reprises, des sommations ont été adressées aux commerçants, familles, et à tous ceux qui squattaient ce site. Une campagne de sensibilisation avait été également menée pour les inciter à quitter les lieux, mais en vain. Il a fait savoir que cette opération de déguerpissement des occupants du site fait suite à la demande de la « communauté Lebou, propriétaire légitime de ce site ».
Des familles Sénégalaises et 300 mendiants étrangers ont été contraints de quitter les lieux. Réputé être une niche d’agresseurs, le Parc à Mazout de Colobane a été rasé, sous la supervision du sous-préfet de Dakar Djiby Diallo, en présence des forces de l’ordre.
Jadis cadre d’épanouissement prisé des jeunes de Colobane et site de prière pour les fêtes de Korité et Tabaski, le Parc à Mazout a viré en une cité criminogène. Il sera squatté par une forte communauté étrangère en majorité des Nigériens en plus de l'installation de cantines sauvages.
Une occupation anarchique qui n’est pas du goût des habitants de Colobane et de la collectivité Lébou qui en sont les propriétaires légaux. D’ailleurs, c’est la collectivité Lébou qui a demandé aux autorités compétentes d’organiser une opération de déguerpissement du site devenu dangereux pour usagers et passants.
Selon le sous-préfet, à deux reprises, des sommations ont été adressées aux commerçants, familles, et à tous ceux qui squattaient ce site. Une campagne de sensibilisation avait été également menée pour les inciter à quitter les lieux, mais en vain. Il a fait savoir que cette opération de déguerpissement des occupants du site fait suite à la demande de la « communauté Lebou, propriétaire légitime de ce site ».
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