Depuis Paris où il se trouve, le chef de l’Etat Macky Sall a fait état de sa satisfaction après l’adoption de la loi portant révision de la Constitution.
«L’Assemblée nationale du Sénégal, saisie par le gouvernement pour voter une révision constitutionnelle qui a pour vocation de prévenir les risques de blocages de notre système électoral tel que nous avons failli le vivre le 30 juillet 2017 à l’occasion des élections législatives avec 47 listes en compétition», déclare-t-il.
Selon lui, cette loi est d’autant plus pertinente qu’avec près de 300 partis politiques, l’organisation d’élections va devenir problématique : «Il y a déjà dans le bureau du ministre de l’Intérieur une vingtaine de demandes d’agréments. Cela veut dire que si rien n’est fait, d’ici l’élection à venir, nous pourrions nous retrouver à plus de 500 partis. C’est devenu de l’anarchie».
A l’en croire, c’est éviter cette situation qui risque à terme d’entrainer le blocage du système électoral qu’il avait en tête avec cette loi sur le parrainage pour tous. Car, martèle-t-il «on n’a jamais vu nulle part dans le monde, une élection présidentielle ou une élection tout simplement où vous allez vous retrouver avec 40 ou 50 listes. Cela finira par tuer la démocratie»
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«L’Assemblée nationale du Sénégal, saisie par le gouvernement pour voter une révision constitutionnelle qui a pour vocation de prévenir les risques de blocages de notre système électoral tel que nous avons failli le vivre le 30 juillet 2017 à l’occasion des élections législatives avec 47 listes en compétition», déclare-t-il.
Selon lui, cette loi est d’autant plus pertinente qu’avec près de 300 partis politiques, l’organisation d’élections va devenir problématique : «Il y a déjà dans le bureau du ministre de l’Intérieur une vingtaine de demandes d’agréments. Cela veut dire que si rien n’est fait, d’ici l’élection à venir, nous pourrions nous retrouver à plus de 500 partis. C’est devenu de l’anarchie».
A l’en croire, c’est éviter cette situation qui risque à terme d’entrainer le blocage du système électoral qu’il avait en tête avec cette loi sur le parrainage pour tous. Car, martèle-t-il «on n’a jamais vu nulle part dans le monde, une élection présidentielle ou une élection tout simplement où vous allez vous retrouver avec 40 ou 50 listes. Cela finira par tuer la démocratie»
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