«Les membres de l’oppositions déplorent la rupture du consensus fort qui s’est construit entre pouvoir et opposition depuis 1992 sur toutes les questions électorales relatives à la fiabilité du processus électoral dans son ensemble », a déclaré Oumar Sarr qui fait appel aux régimes de Diouf et Wade, qui n’ont pas dérogé, selon lui, à cette règle qu’il reproche au Président d’avoir foulée du pied.
Et le secrétaire général national adjoint du Parti démocratique sénégalais (Pds) de poursuivre : «En dépit de la volonté affichée de tous les partis de l’opposition d’arriver à des conclusions consensuelles pour renforcer notre système électoral, en le mettant totalement à l’abri des contestations sources de tous les dangers, le gouvernement n’a pas fait preuve des mêmes dispositions».
Selon lui, cette position du gouvernement annonce «un antagonisme lourd de danger pour notre pays et certainement pour la sous-région ». Et c’est dans ce sens que le Fds/Manko Wattu Senegaal a fait appel au peuple pour «contraindre le gouvernement à respecter le processus électoral et empêcher toute triche pendant les prochaines élections».
Revenant sur la refonte du fichier électoral, Oumar Sarr soutient qu’elle découle du vœu du gouvernement, sous-prétexte d’en éliminer le «soi-disant stock mort » afin de ne pas inscrire sur les listes électorales, les habitants des zones supposées être le bastion de l’opposition. Et à l’opposé, favoriser ceux proches du régime».
Et, annonce le responsable libéral, l’opposition ne saurait cautionner ce forfait qui sacralise la suppression des personnes qui n’ont pas affiché leur volonté de demeurer dans le fichier électoral. Enumérant les raison de leur rejet de ce «modus operendi », M. Sarr, cite : «l’absence d’audit préalable du fichier électoral, le refus de chercher le consensus avec l’opposition… ».
Oumar Sarr est d’avis que ces raisons font planer des soupçons de désirs de corrompre les résultats des prochaines élections. Soupçons qui se concrétisent déjà avec l’inscription du chef de l’Etat sans la présence d’aucun membre de l’opposition, faisant de lui le premier à «violer la loi » que lui-même a promulgué.
Et le secrétaire général national adjoint du Parti démocratique sénégalais (Pds) de poursuivre : «En dépit de la volonté affichée de tous les partis de l’opposition d’arriver à des conclusions consensuelles pour renforcer notre système électoral, en le mettant totalement à l’abri des contestations sources de tous les dangers, le gouvernement n’a pas fait preuve des mêmes dispositions».
Selon lui, cette position du gouvernement annonce «un antagonisme lourd de danger pour notre pays et certainement pour la sous-région ». Et c’est dans ce sens que le Fds/Manko Wattu Senegaal a fait appel au peuple pour «contraindre le gouvernement à respecter le processus électoral et empêcher toute triche pendant les prochaines élections».
Revenant sur la refonte du fichier électoral, Oumar Sarr soutient qu’elle découle du vœu du gouvernement, sous-prétexte d’en éliminer le «soi-disant stock mort » afin de ne pas inscrire sur les listes électorales, les habitants des zones supposées être le bastion de l’opposition. Et à l’opposé, favoriser ceux proches du régime».
Et, annonce le responsable libéral, l’opposition ne saurait cautionner ce forfait qui sacralise la suppression des personnes qui n’ont pas affiché leur volonté de demeurer dans le fichier électoral. Enumérant les raison de leur rejet de ce «modus operendi », M. Sarr, cite : «l’absence d’audit préalable du fichier électoral, le refus de chercher le consensus avec l’opposition… ».
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