Le Premier ministre Ousmane Sonko, accompagné d’une forte délégation gouvernementale, a effectué ce samedi 30 août 2025 une visite de courtoisie à Médina Baye, à Kaolack, auprès du Khalife général de la Fayda Tidjanya, Cheikh Mouhamadoul Mahi Ibrahima Niass. Cette visite s’inscrit dans le cadre des préparatifs du Maouloud.
Devant le Khalife, Ousmane Sonko a dressé un état des lieux de la situation nationale, tout en exposant les grandes lignes de son plan de redressement.
« Le pays dispose d’énormes potentialités, mais il a longtemps été retardé par une mauvaise gouvernance et un manque de transparence. Nous avons hérité d’une situation catastrophique, marquée par une dette colossale. Les Sénégalais nous ont élus pour y remédier, et nous sommes résolument engagés dans ce défi national. D’ici trois ans, nous allons redresser le Sénégal », a-t-il assuré.
Le chef du gouvernement a annoncé avoir déjà présenté son plan de redressement, qu’il compte partager avec l’ensemble des guides religieux, traduit en wolof et en arabe. Selon lui, le développement du pays exige un effort collectif.
« Aucun pays ne s’est développé sans sacrifice. En Chine, avec la révolution culturelle, des millions de personnes ont perdu la vie. Nous n’en arriverons pas là, mais nous sommes la génération qui va consentir des efforts pour que nos enfants vivent dans un Sénégal développé », a-t-il ajouté.
Il a également mis en avant l’importance de la valorisation des ressources naturelles (pétrole, gaz, zircon, or et fer) pour l’autonomie économique du pays. À partir de 2026, a-t-il révélé, le Sénégal cessera d’importer du gaz, ce qui permettra d’économiser plus de 170 milliards de FCFA et de réduire le coût de l’électricité.
En conclusion, le Premier ministre a sollicité les prières du Khalife pour la paix, la stabilité et le développement du Sénégal.
Devant le Khalife, Ousmane Sonko a dressé un état des lieux de la situation nationale, tout en exposant les grandes lignes de son plan de redressement.
« Le pays dispose d’énormes potentialités, mais il a longtemps été retardé par une mauvaise gouvernance et un manque de transparence. Nous avons hérité d’une situation catastrophique, marquée par une dette colossale. Les Sénégalais nous ont élus pour y remédier, et nous sommes résolument engagés dans ce défi national. D’ici trois ans, nous allons redresser le Sénégal », a-t-il assuré.
Le chef du gouvernement a annoncé avoir déjà présenté son plan de redressement, qu’il compte partager avec l’ensemble des guides religieux, traduit en wolof et en arabe. Selon lui, le développement du pays exige un effort collectif.
« Aucun pays ne s’est développé sans sacrifice. En Chine, avec la révolution culturelle, des millions de personnes ont perdu la vie. Nous n’en arriverons pas là, mais nous sommes la génération qui va consentir des efforts pour que nos enfants vivent dans un Sénégal développé », a-t-il ajouté.
Il a également mis en avant l’importance de la valorisation des ressources naturelles (pétrole, gaz, zircon, or et fer) pour l’autonomie économique du pays. À partir de 2026, a-t-il révélé, le Sénégal cessera d’importer du gaz, ce qui permettra d’économiser plus de 170 milliards de FCFA et de réduire le coût de l’électricité.
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