Des travailleurs de Dakar Dem Dikk ont fait face à la presse hier mardi devant la Caisse de sécurité sociale (Css) pour exiger le paiement de leurs allocations familiales. Ils menacent même d’arrêter la rotation des bus.
« Nos épouses ne parviennent pas à percevoir leurs droits à l'accouchement. Des travailleurs qui sont ici depuis sept ans ne parviennent pas à percevoir leurs droits aux prestations familiales. Entre temps, le chef de Division du social qui est à Dakar Dem Dikk a publiquement dit que les travailleurs qui ont déposé leurs dossiers entre 2019 et 2021, qui coïncident avec la période du Covid, n'ont pas de numéros. Or, ces numéros ont été octroyés par la Caisse de sécurité sociale. C'est un scandale », a fustigé Abdoulaye Fall, délégué du personnel.
Selon "Libération", ces travailleurs demandent à l'Etat du Sénégal de revoir le statut de la Caisse.
Les plaignants comptent aller à la vitesse supérieure si rien n'est fait. «Nous avons passé l'étape de notre premier plan d'action avec la conférence de presse que nous avions eue à Thiaroye. Le deuxième plan d'action, c'était de venir à la Caisse de sécurité sociale pour leur dire que nous sommes encore là. Et le troisième plan d'action sera de tirer les freins armés. Cela veut dire que nous allons arrêter les bus et nous allons le faire légalement », ont-ils lancé.
« Nos épouses ne parviennent pas à percevoir leurs droits à l'accouchement. Des travailleurs qui sont ici depuis sept ans ne parviennent pas à percevoir leurs droits aux prestations familiales. Entre temps, le chef de Division du social qui est à Dakar Dem Dikk a publiquement dit que les travailleurs qui ont déposé leurs dossiers entre 2019 et 2021, qui coïncident avec la période du Covid, n'ont pas de numéros. Or, ces numéros ont été octroyés par la Caisse de sécurité sociale. C'est un scandale », a fustigé Abdoulaye Fall, délégué du personnel.
Selon "Libération", ces travailleurs demandent à l'Etat du Sénégal de revoir le statut de la Caisse.
Les plaignants comptent aller à la vitesse supérieure si rien n'est fait. «Nous avons passé l'étape de notre premier plan d'action avec la conférence de presse que nous avions eue à Thiaroye. Le deuxième plan d'action, c'était de venir à la Caisse de sécurité sociale pour leur dire que nous sommes encore là. Et le troisième plan d'action sera de tirer les freins armés. Cela veut dire que nous allons arrêter les bus et nous allons le faire légalement », ont-ils lancé.
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