
Sous pression depuis plusieurs jours à la suite des révélations des « Panama papers », le premier ministre britannique a admis pour la première fois jeudi 7 avril au soir qu’il détenait jusqu’en 2010 des parts dans le fonds fiduciaire de son père, immatriculé aux Bahamas. M. Cameron a souligné dans une interview à la chaîne ITV qu’il les avait vendu en 2010 pour environ 30 000 livres (37 000 euros), quelques mois avant d’être élu premier ministre. David Cameron a insisté sur le fait qu’il avait payé des impôts au Royaume-Uni sur les dividendes encaissées et qu’il n’y avait rien eu d’illégal dans sa démarche.
Le premier ministre a répété ne détenir « aucune action » jeudi. « Je n’ai aucune action, aucun trust offshore, aucun fonds offshore, rien de tout cela », avait-il martelé mardi, en réponse à un journaliste, lors d’un déplacement à Birmingham. Après les révélation le concernant dans le cadre des « Panama papers », il avait d’abord tenté de se dérober, affirmant que les investissements de son père aux Bahamas par l’intermédiaire du cabinet panaméen Mossack Fonseca étaient une « affaire privée ».
« Je suis fier de mon père »
Ian Camron, décédé en 2010, avait dirigé un fonds dont les profits ont échappé au fisc britannique pendant trente ans grâce à un montage complexe. « Je n’ai honnêtement rien à cacher, a insisté David Cameron. Je suis fier de mon père et de ce qu’il a accompli, de l’entreprise qu’il a montée et tout le reste. Je ne peux supporter que son nom soit traîné dans la boue », a-t-il ajouté. « Je possède deux maisons, dont une que je loue, et j’ai mon salaire de Premier ministre. Je n’ai pas d’actions, pas d’investissements, j’ai quelques économies », a encore déclaré le Premier ministre.
Le premier ministre a répété ne détenir « aucune action » jeudi. « Je n’ai aucune action, aucun trust offshore, aucun fonds offshore, rien de tout cela », avait-il martelé mardi, en réponse à un journaliste, lors d’un déplacement à Birmingham. Après les révélation le concernant dans le cadre des « Panama papers », il avait d’abord tenté de se dérober, affirmant que les investissements de son père aux Bahamas par l’intermédiaire du cabinet panaméen Mossack Fonseca étaient une « affaire privée ».
« Je suis fier de mon père »
Ian Camron, décédé en 2010, avait dirigé un fonds dont les profits ont échappé au fisc britannique pendant trente ans grâce à un montage complexe. « Je n’ai honnêtement rien à cacher, a insisté David Cameron. Je suis fier de mon père et de ce qu’il a accompli, de l’entreprise qu’il a montée et tout le reste. Je ne peux supporter que son nom soit traîné dans la boue », a-t-il ajouté. « Je possède deux maisons, dont une que je loue, et j’ai mon salaire de Premier ministre. Je n’ai pas d’actions, pas d’investissements, j’ai quelques économies », a encore déclaré le Premier ministre.
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