Le Rewmi d’Idrissa Seck ne se fait pas de soucis concernant la possibilité ou non d’atteindre le nombre de parrains requis pour être candidat à la présidentielle du 24 février 2019. Selon Ass Babacar Gueye, le chiffre fixé par la loi est largement dépassé.
«Le 24 septembre déjà on avait bouclé la première phase de collecte autour des 66 820 (signatures) demandées et exigées par la loi. Mais nous n’avons pas arrêté. Nous continuons véritablement la phase offensive de collecte de parrains électeurs», a-t-il déclaré sur Sud Fm.
Ne s’en arrêtant pas en si bon chemin, M. Gueye révèle qu’ils ont même amorcé la deuxième phase pour remplir leur part du marché : «aujourd’hui nous sommes très largement au-dessus du quota demandé et nous sommes même dans la phase de saisie pour remplir la deuxième condition ». Car, explique-t-il, la loi exige que les candidats à la candidature déposent aussi des fichiers numérisés dans des clés USB.
Cependant, regrette-t-il, l’absence du fichier électoral «entre les mains de l’opposition» ne les aide pas beaucoup puisqu’ils sont obligés d’y aller à l’aveuglette tout en ne sachant pas qui figure dans le fichier et qui n’y figure pas d’où leur décision d’aller au-delà de la limite fixée par la loi.
«Le 24 septembre déjà on avait bouclé la première phase de collecte autour des 66 820 (signatures) demandées et exigées par la loi. Mais nous n’avons pas arrêté. Nous continuons véritablement la phase offensive de collecte de parrains électeurs», a-t-il déclaré sur Sud Fm.
Ne s’en arrêtant pas en si bon chemin, M. Gueye révèle qu’ils ont même amorcé la deuxième phase pour remplir leur part du marché : «aujourd’hui nous sommes très largement au-dessus du quota demandé et nous sommes même dans la phase de saisie pour remplir la deuxième condition ». Car, explique-t-il, la loi exige que les candidats à la candidature déposent aussi des fichiers numérisés dans des clés USB.
Cependant, regrette-t-il, l’absence du fichier électoral «entre les mains de l’opposition» ne les aide pas beaucoup puisqu’ils sont obligés d’y aller à l’aveuglette tout en ne sachant pas qui figure dans le fichier et qui n’y figure pas d’où leur décision d’aller au-delà de la limite fixée par la loi.
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