
Le président de l’Interprofessionnelle des producteurs d’oignons au Sénégal (IPOS), ont réclamé, mercredi, des équipements de conservation et de stockage adaptés pour une bonne campagne maraîchère.
« Nous manquons grandement de moyens de conservation de l’oignon et pourtant nous mettons en valeur des milliers d’hectares lors de chaque campagne maraîchère. Pour la conservation de l’oignon, il nous faut des équipements disposant d’une bonne ventilation, à la place des chambres froides », a souligné Boubacar Sall, dans un entretien avec l’APS.
Les producteurs sont aussi confrontés à un problème d’accès au financement et un coût élevé du transport, a-t-il fait savoir.
Pour cette saison froide, les producteurs de Podor ont déjà mis en valeur 2 000 hectares d’oignon dans les secteurs de la délégation de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED) du département, à savoir Thillé Boubacar, Gamadji Saré et Cas-Cas-Saldé. Boubacar Sall a signalé que les producteurs commencent à mettre sur le marché des produits issus de leurs récoltes, à Ndiandane, Ngeundar, Loboudou, Doué et Guia.
Le producteur a fait savoir que les prix varient entre 11 000 et 12 500 francs CFA le sac de 45 à 50 kg.
« Nous manquons grandement de moyens de conservation de l’oignon et pourtant nous mettons en valeur des milliers d’hectares lors de chaque campagne maraîchère. Pour la conservation de l’oignon, il nous faut des équipements disposant d’une bonne ventilation, à la place des chambres froides », a souligné Boubacar Sall, dans un entretien avec l’APS.
Les producteurs sont aussi confrontés à un problème d’accès au financement et un coût élevé du transport, a-t-il fait savoir.
Pour cette saison froide, les producteurs de Podor ont déjà mis en valeur 2 000 hectares d’oignon dans les secteurs de la délégation de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED) du département, à savoir Thillé Boubacar, Gamadji Saré et Cas-Cas-Saldé. Boubacar Sall a signalé que les producteurs commencent à mettre sur le marché des produits issus de leurs récoltes, à Ndiandane, Ngeundar, Loboudou, Doué et Guia.
Le producteur a fait savoir que les prix varient entre 11 000 et 12 500 francs CFA le sac de 45 à 50 kg.
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