L’Adepta, Association pour le développement des échanges internationaux de produits et de techniques agro alimentaires va réunir du 25 au 28 mars, une cinquantaine d’exposition sur le Siargo qui se tiendra au centre international du commerce et des échanges du Sénégal. Et en prélude à cet événement, ces entreprises françaises ont fait face à la presse lors de laquelle, elles n'ont pas manqué de s'exprimer sur l’option de l’Etat à développer l’agrobusiness. Une chose qu’ils ont saluée, mais, non sans souligner les difficultés qui émaillent de nos politiques agricoles.
«Le problème qu’on a souvent dans les pays d’Afrique subsaharienne, c’est que quand vous démarrez et vous conduisez une politique agricole et agro alimentation vous n’avez pas de résultat immédiat. Et le temps du politique est plus court. Lui, il a des échéances électorales qui sont plus rapide que les échéances économiques» a souligné François Burgaud, président de l’Adepta.
La question du financement est aussi un casse-tête pour ceux qui se lancent dans l’agro alimentation au Sénégal. «Le dernier point difficile en matière d’investissement d’affaires c’est la question du financement», dit-il. Avant d'expliquer dans les colonnes du journal "le populaire" : «Quand on est filiale d’un groupe français ou quand on est adossé sur une grosse entreprise, le financement se résout par des moyens classiques. Si vous êtes un opérateur Sénégalais, vous essayez de créer une petite unité dans le secteur laitier… et que vous chercher des financements, aujourd’hui les outils sont toujours assez peu adaptés».
«Le problème qu’on a souvent dans les pays d’Afrique subsaharienne, c’est que quand vous démarrez et vous conduisez une politique agricole et agro alimentation vous n’avez pas de résultat immédiat. Et le temps du politique est plus court. Lui, il a des échéances électorales qui sont plus rapide que les échéances économiques» a souligné François Burgaud, président de l’Adepta.
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