Pape Malick Ndour, membre de l’Alliance pour la République (APR), a rejeté l’appel au dialogue lancé par le régime actuel. Il qualifie cette initiative de « théâtre national populaire ». Dans une publication sur Facebook, il s’en est également pris à Ousmane Sonko, leader de Pastef, dénonçant ses propos où il avait traité l’opposition de « résidu ».
« Appeler l’opposition “résidu”, puis lui tendre la main pour dialoguer, c’est conjuguer l’insulte au mépris dans une même phrase. Y répondre, ce serait comme un acteur qui dit “présent” au casting après avoir été traité de déchet par le réalisateur », a déclaré l’ancien ministre de la Jeunesse.
Pape Malick Ndour qualifie le dialogue de « théâtre national populaire ». « A l'APR, nous ne sommes ni des figurants dociles ni des marionnettes pour parader dans un “Théâtre national populaire” mal scénarisé. Ce que l’on appelle dialogue ne sera qu’un casting pour figurants consentants. Nous poursuivrons, loin de cette comédie institutionnelle, le seul dialogue légitime : celui avec le peuple souverain », a-t-il raillé.
Pape Malick Ndour reste catégorique sur les réformes institutionnelles évoquées par le pouvoir : « Proposez toutes les réformes que vous voulez, inscrivez même votre unique projet de séances mensuelles de balayage dans la constitution, ça ne changera rien. Parce qu’à la fin, peu importe le système politique, les balayeurs seront balayés en 2029 ».
« Appeler l’opposition “résidu”, puis lui tendre la main pour dialoguer, c’est conjuguer l’insulte au mépris dans une même phrase. Y répondre, ce serait comme un acteur qui dit “présent” au casting après avoir été traité de déchet par le réalisateur », a déclaré l’ancien ministre de la Jeunesse.
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