« En 2013, l’Etat a lancé la traque des biens mal acquis. Deux (2) sociétés ont été ciblées à l’aéroport de Dakar. Il s’agit d’Aviation Handling Service (AHS) et Aéroport Bus Services (ABS). Ainsi, ces sociétés ont été placées sur le patrimoine de l’Etat. On a vu que l’Etat a laissé AHS continuer ses activités et systématiquement faire cesser (celles) de ABS en mettant un patrimoine de 7 milliards à la casse et jeter les travailleurs dehors », fulmine le coordonnateur du comité de crise, Ababacar Kane, sur Walf radio.
Martelant que «les autorités ont promis aux travailleurs de les redéployer dans d’autres structures et de continuer à payer les salaires », ledit agent assène que « voilà maintenant 18 mois qu' (ils n’ont) pas perçu (leurs) salaires ». Ce, alors que « l'AIBD a été inauguré. Et, rien n’a été fait. Donc, aucune promesse n’a été tenue par les autorités ».
A l’en croire, il s’agit maintenant de durcir le ton. « On avait essayé de montrer aux sénégalais d’autres formes de revendication. C’est-à-dire de ne pas casser, de ne pas brûler et de ne pas injurier tout en respectant les Institutions et les autorités. Mais les autorités ont fait la sourde d’oreille. Le Président de la République nous snobe, plusieurs documents ont été envoyés vers les autorités concernées mais jusque-là, rien n’a été fait », rage-t-il.
Avant de lancer : « Nous n’allons pas accepter d’être enterrés vivants. Nous allons continuer de nous battre... A partir d’aujourd’hui, nous allons taper fort, partout et n’importe comment pour que nous soyons réintégrés dans nos droits ».
Ces agents exigent « leur déploiement à l’AIBD, sans délai et sans conditions, et le paiement intégral de leurs arriérés de salaires et indemnités ».
Martelant que «les autorités ont promis aux travailleurs de les redéployer dans d’autres structures et de continuer à payer les salaires », ledit agent assène que « voilà maintenant 18 mois qu' (ils n’ont) pas perçu (leurs) salaires ». Ce, alors que « l'AIBD a été inauguré. Et, rien n’a été fait. Donc, aucune promesse n’a été tenue par les autorités ».
A l’en croire, il s’agit maintenant de durcir le ton. « On avait essayé de montrer aux sénégalais d’autres formes de revendication. C’est-à-dire de ne pas casser, de ne pas brûler et de ne pas injurier tout en respectant les Institutions et les autorités. Mais les autorités ont fait la sourde d’oreille. Le Président de la République nous snobe, plusieurs documents ont été envoyés vers les autorités concernées mais jusque-là, rien n’a été fait », rage-t-il.
Avant de lancer : « Nous n’allons pas accepter d’être enterrés vivants. Nous allons continuer de nous battre... A partir d’aujourd’hui, nous allons taper fort, partout et n’importe comment pour que nous soyons réintégrés dans nos droits ».
Ces agents exigent « leur déploiement à l’AIBD, sans délai et sans conditions, et le paiement intégral de leurs arriérés de salaires et indemnités ».
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