Jean Claude de l'Estrac a mis l'accent sur ses propositions en matière économique cherchant à répondre en cela aux attentes des pays francophones, notamment d'Afrique, exprimées au Sommet de Kinshasa en 2012. C'est dans ce sens qu'il propose en particulier la création d'une Agence francophone de promotion de l'industrialisation avec le concours du secteur privé. Selon lui, « l'industrialisation est une arme de construction massive », parce qu'il s'agit de création d'emplois, de croissance et de gouvernance.
A ce titre, le candidat mauricien a cité en exemple le Gabon qui met en œuvre un ambitieux plan de développement, « Gabon émergent ». Ses visites à Libreville, Dakar, Abidjan et Cotonou, en août dernier, ont conforté son idée que « les plans d'industrialisation, notamment parla création de zones franches industrielles, constituent de véritables locomotives de développement ». Pour ce faire, « il est essentiel de garantir un climat d'affaires stimulant, un ensemble de réglementation favorisant l'initiative privée et des infrastructures performantes », a-t-il précisé. A cet égard, « l'OIF peut apporter toute son expertise et mobiliser les savoir-faire pour soutenir les pays qui mettent en œuvre de tels plans de développement », a-t-il ajouté.
Pour le candidat mauricien, ces plans d'industrialisation et les succès des modèles de zones franches, comme celle de Maurice, constituent autant d'expériences à partager au sein de la communauté des Etats francophones, notamment du Sud.
Jean-Claude de l'Estrac s'est également appesanti sur la question centrale du respect des diversités culturelles « préalable essentielle à la stabilité politique, à la paix, à la démocratie, et de fait à l'épanouissement de la jeunesse et à la croissance durable ». Il en est d'autant plus convaincu que « l'expérience mauricienne montre que le respect des diversités a permis de dépasser les clivages, de construire un paysage politique responsable, attaché à la démocratie et soucieux de l'égalité des chances, comme en témoigne l'existence d'un organisme public chargé d'y veiller ».
Conscient de l'importance des problématiques identitaires pour la paix et la démocratie, Jean Claude de l'Estrac propose la création d'un Observatoire des diversités culturelles. Cet instrument permettrait, pense-t-il, « d'approfondir la connaissance des mécanismes de crise et ainsi prévenir les tensions et les risques de conflits ».
Jean Claude de l'Estrac entend s'inscrire dans la dynamique lancée par le président Abdou Diouf, « dont l'action a conforté le magistère d'influence de l'organisation », tout en renforçant le pilier économique de la Francophonie.
A ce titre, le candidat mauricien a cité en exemple le Gabon qui met en œuvre un ambitieux plan de développement, « Gabon émergent ». Ses visites à Libreville, Dakar, Abidjan et Cotonou, en août dernier, ont conforté son idée que « les plans d'industrialisation, notamment parla création de zones franches industrielles, constituent de véritables locomotives de développement ». Pour ce faire, « il est essentiel de garantir un climat d'affaires stimulant, un ensemble de réglementation favorisant l'initiative privée et des infrastructures performantes », a-t-il précisé. A cet égard, « l'OIF peut apporter toute son expertise et mobiliser les savoir-faire pour soutenir les pays qui mettent en œuvre de tels plans de développement », a-t-il ajouté.
Pour le candidat mauricien, ces plans d'industrialisation et les succès des modèles de zones franches, comme celle de Maurice, constituent autant d'expériences à partager au sein de la communauté des Etats francophones, notamment du Sud.
Jean-Claude de l'Estrac s'est également appesanti sur la question centrale du respect des diversités culturelles « préalable essentielle à la stabilité politique, à la paix, à la démocratie, et de fait à l'épanouissement de la jeunesse et à la croissance durable ». Il en est d'autant plus convaincu que « l'expérience mauricienne montre que le respect des diversités a permis de dépasser les clivages, de construire un paysage politique responsable, attaché à la démocratie et soucieux de l'égalité des chances, comme en témoigne l'existence d'un organisme public chargé d'y veiller ».
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