
Il ressort de la lettre d’intention envoyée à la Directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI) que le gouvernement a pris des mesures fortes pour garantir une exécution physique et financière correcte des projets dont le coût global est supérieur ou égal à un (1) milliard et pour la bonne marche de l’Economie. L’Etat entend « subordonner l’inscription de crédits de paiement dans la loi de finances, à la production, par le ministère concerné, d’un rapport d’exécution physique et financière portant sur l’année antérieure ».
En vue de favoriser l’orientation des dépenses vers la formation brute de capital fixe, le gouvernement s’engage à réviser le décret n°2012-673 du 4 juillet 2012 portant nomenclature budgétaire de l’Etat. En plus d’un comité de sélection des investissements publics, un plan d’actions sera mis en place pour intégrer dans la Plateforme, le cheminement des projets significatifs en termes de d’impact sur la croissance.
Des dispositions seront prises pour opérationnaliser la stratégie de gestion du portefeuille de l’Etat à travers, notamment, trois (3) actions fortes : recenser les participations de l’Etat à l’étranger, rendre fonctionnel le comité interministériel, de restructuration des entreprises en difficulté. Dans ce sillage, le gouvernement réaffirme son engagement à « prendre toutes les mesures nécessaires pour une privatisation en 2018 de la SONACOS » après le départ forcé de ADVENS.
Le FMI « vivement préoccupé » par la situation de La Poste qui est au bord du chaos financier, le gouvernement qui a décidé de prendre le taureau par les cornes, livre « Libération ».
Conduite par l’Inspection générale des Finances, la mission d’audit avait formulé des recommandations allant de la restructuration de La Poste, la réforme du régime du Fonds National de Retraite (FNR) et l’analyse approfondie des soldes créditeurs des comptes de dépôt et des recettes d’ordre…
Au-delà du paramétrage de la compensation des chèques postaux présentés par la clientèle, hors comptes internes, la restructuration de La Poste sera une priorité des autorités cette année.
En vue de favoriser l’orientation des dépenses vers la formation brute de capital fixe, le gouvernement s’engage à réviser le décret n°2012-673 du 4 juillet 2012 portant nomenclature budgétaire de l’Etat. En plus d’un comité de sélection des investissements publics, un plan d’actions sera mis en place pour intégrer dans la Plateforme, le cheminement des projets significatifs en termes de d’impact sur la croissance.
Des dispositions seront prises pour opérationnaliser la stratégie de gestion du portefeuille de l’Etat à travers, notamment, trois (3) actions fortes : recenser les participations de l’Etat à l’étranger, rendre fonctionnel le comité interministériel, de restructuration des entreprises en difficulté. Dans ce sillage, le gouvernement réaffirme son engagement à « prendre toutes les mesures nécessaires pour une privatisation en 2018 de la SONACOS » après le départ forcé de ADVENS.
Le FMI « vivement préoccupé » par la situation de La Poste qui est au bord du chaos financier, le gouvernement qui a décidé de prendre le taureau par les cornes, livre « Libération ».
Conduite par l’Inspection générale des Finances, la mission d’audit avait formulé des recommandations allant de la restructuration de La Poste, la réforme du régime du Fonds National de Retraite (FNR) et l’analyse approfondie des soldes créditeurs des comptes de dépôt et des recettes d’ordre…
Au-delà du paramétrage de la compensation des chèques postaux présentés par la clientèle, hors comptes internes, la restructuration de La Poste sera une priorité des autorités cette année.
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