Le Groupe d’Etude, de Recherche et d’Action pour le Développement (GERAD) se propose d’impliquer d’avantage les journalistes dans l’animation budgétaire afin de contribuer à la préparation des informations budgétaires et à la participation des citoyens dans le processus d’élaboration, d’exécution, de suivi-évaluation et de contrôle du budget. Ce matin en atelier de formation avec les journalistes, GERAD a décidé de les amener à identifier des actions pertinentes à réaliser afin d’animer des débats au cours de différentes étapes du processus budgétaire. Mais aussi de réaliser d’une manière efficace et efficiente des actions en faveur de la transparence budgétaire.
Selon son Secrétaire général, Amidou Aboubacry Diallo, « le respect des normes internationales de transparence budgétaire est devenu un défi sur le plan mondial. Ces normes reprises par le code de transparence de l’UMEOA et celui du Sénégal recommandent la production et la publication à temps des documents relatifs au processus budgétaire. Beaucoup de pays essayent de se conformer à ces normes. Le Sénégal a fait des efforts remarquables en faisant passer sa note dans l’Enquête sur le budget Ouvert (EBO) de 3 à 43% entre 2008 et 2015 », souligne t’il.
Au sortir de cet atelier les participants ont proposé l’application de certains points entre autres : le renforcement des capacités des journalistes dans la collecte de l’information de la gestion budgétaire, un plaidoyer pour l’implication des journalistes dans le processus budgétaire, leur présence dans les commissions techniques de l’Assemblée Nationale, sensibiliser les populations sur l’exécution du budget, la mise en place d’une association de journalistes pour la réalisation efficiente de la transparence du budget, la participation des citoyens dans le processus de contrôle de suivi-évaluation du budget, l’organisation des débats interactifs.
Selon son Secrétaire général, Amidou Aboubacry Diallo, « le respect des normes internationales de transparence budgétaire est devenu un défi sur le plan mondial. Ces normes reprises par le code de transparence de l’UMEOA et celui du Sénégal recommandent la production et la publication à temps des documents relatifs au processus budgétaire. Beaucoup de pays essayent de se conformer à ces normes. Le Sénégal a fait des efforts remarquables en faisant passer sa note dans l’Enquête sur le budget Ouvert (EBO) de 3 à 43% entre 2008 et 2015 », souligne t’il.
Au sortir de cet atelier les participants ont proposé l’application de certains points entre autres : le renforcement des capacités des journalistes dans la collecte de l’information de la gestion budgétaire, un plaidoyer pour l’implication des journalistes dans le processus budgétaire, leur présence dans les commissions techniques de l’Assemblée Nationale, sensibiliser les populations sur l’exécution du budget, la mise en place d’une association de journalistes pour la réalisation efficiente de la transparence du budget, la participation des citoyens dans le processus de contrôle de suivi-évaluation du budget, l’organisation des débats interactifs.
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