C’est à l’Institut de Gorée, « hébergeur » du RESOCIT pour parler comme son président, le professeur Babacar Guèye, que le rapport d’évaluation du RESOCIT est rendu public ce jeudi. En présence des membres de la Société civile (Y’en a marre, M23, associations de femmes…), des représentants du ministère de la Bonne Gouvernance et de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA), Pr Babacar Guèye décrit le lancement du rapport comme une volonté d’accomplissement de ce qu’il appelle la « citoyenneté politique ». Par ailleurs, il est question de faire état des différentes actions qui ont été entreprises lors des élections présidentielle et législatives, précise Doudou Dia, directeur de Gorée Institut.
Ce qui l’incite à rappeler, de la période préélectorale à celle postélectorale, les formations réalisées dans les monitorings de la violence, des médias, de la corruption politique, etc. Mais aussi le partenariat ou encore la « synergie d’ensemble » entre le RESOCIT et les différents ministères concernés par les élections, ainsi que les autres missions d’observation. L’Union Européenne qui a financé la mission d’observation s’est félicitée de ce rapport final avant d’assurer par la voix de sa représente Delphine Pronk, une collaboration continue pour le suivi des travaux.
Toutefois, conscient qu’il reste du chemin à parcourir avec les élections Locales de 2014 qui pointent à l’horizon, le président du RESOCIT qui traduit ce rapport comme un pas important dans l’enracinement de notre démocratie, promet une assistance sans interruption. Embouchant la même trompette, M. Dia estime qu’il ne faut plus considérer l’élection comme un aspect ponctuel, mais plutôt comme un processus. Le rapport final d’évaluation comportant le travail colossal abattu par les organisations de la Société civile avant et après les élections présidentielle et législatives est remis à la représentante de l’UE par le doyen Amadou Ciré Sall par ailleurs responsable du RESOCIT.
Ce qui l’incite à rappeler, de la période préélectorale à celle postélectorale, les formations réalisées dans les monitorings de la violence, des médias, de la corruption politique, etc. Mais aussi le partenariat ou encore la « synergie d’ensemble » entre le RESOCIT et les différents ministères concernés par les élections, ainsi que les autres missions d’observation. L’Union Européenne qui a financé la mission d’observation s’est félicitée de ce rapport final avant d’assurer par la voix de sa représente Delphine Pronk, une collaboration continue pour le suivi des travaux.
Toutefois, conscient qu’il reste du chemin à parcourir avec les élections Locales de 2014 qui pointent à l’horizon, le président du RESOCIT qui traduit ce rapport comme un pas important dans l’enracinement de notre démocratie, promet une assistance sans interruption. Embouchant la même trompette, M. Dia estime qu’il ne faut plus considérer l’élection comme un aspect ponctuel, mais plutôt comme un processus. Le rapport final d’évaluation comportant le travail colossal abattu par les organisations de la Société civile avant et après les élections présidentielle et législatives est remis à la représentante de l’UE par le doyen Amadou Ciré Sall par ailleurs responsable du RESOCIT.
Autres articles
-
Santé sexuelle et reproductive à Kolda : un accès encore difficile pour les femmes et filles handicapées
-
SEN’EAU : le député Guy Marius Sagna accuse SUEZ de pratiques antisyndicales
-
Paris : un Sénégalais poignardé à mort par un compatriote
-
L’ARP valide la conformité des produits SOFTCARE après une inspection à Sindia
-
Journée nationale de la Diaspora : Bassirou Diomaye Faye veut faire du numérique le pont de la souveraineté




Santé sexuelle et reproductive à Kolda : un accès encore difficile pour les femmes et filles handicapées


