
Le chef de l'État a annoncé hier mardi lors de la cérémonie de remise des prix du concours général un programme de recrutement spécial d’enseignants prévu à l’horizon 2030. Une décision que salue le secrétaire général du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire du Sénégal (SAEMSS), El Hadj Malick Youm.
« Le recrutement d’enseignant en nombre suffisant, nous rappelons à ce sujet déjà que le déficit d'enseignant était estimé à l'ouverture des classes 2023-2024 après de 8 883 enseignants et aujourd'hui la politique de recrutement devrait être beaucoup plus efficace à aller dans le sens de la résorption de ce déficit. Et si le président l’annonce, nous ne pouvons que nous en réjouir », a-t-il dit sur les ondes de Sud FM.
D’après M. Youm, « ça permettra déjà de mettre un terme à des phénomènes comme les classes multigrades où le double flux ça permettra également d'apporter des solutions surtout à des questions telles que les abris provisoires et autres ».
« Comme il a dit lui-même, nous pensons que le président mettra en place aussi un dispositif efficace allant dans le sens de la résorption des abris provisoires pour qu'on ait vraiment une école avec zéro abri provisoire », a-t-il ajouté.
D'autre part également, poursuit-il, « nous saluons en tout cas, les annonces relatives notamment à la réorientation des enseignements apprentissages vers les sciences et la technique parce que nous pensons que notamment aussi les mathématiques ».
Pour le secrétaire général du SAEMSS, ce n’est pas une première d'autant plus que « tout le monde se rappelle que ça fait partie d'une des orientations majeures ici des Assises nationales de 2014 et nous pensons que sa réalisation permettrait à l'école donc d'être beaucoup plus efficace et nous y avons également apprécié deux autres éléments relatifs notamment à l'intégration des langues nationales que nous réclamons depuis quelques temps ainsi que le rôle prépondérant que devrait jouer la formation professionnelle en tant que levier de transformation donc de notre industrie et de notre économie ».
Selon El Hadj Malick Youm, « ce sont des éléments qui participeraient à la prise en charge d'une bonne partie des préoccupations de la plateforme syndicale même si nous savons qu’il y a d'autres éléments sur lesquels l'état du Sénégal est encore attendue ».
« Le recrutement d’enseignant en nombre suffisant, nous rappelons à ce sujet déjà que le déficit d'enseignant était estimé à l'ouverture des classes 2023-2024 après de 8 883 enseignants et aujourd'hui la politique de recrutement devrait être beaucoup plus efficace à aller dans le sens de la résorption de ce déficit. Et si le président l’annonce, nous ne pouvons que nous en réjouir », a-t-il dit sur les ondes de Sud FM.
D’après M. Youm, « ça permettra déjà de mettre un terme à des phénomènes comme les classes multigrades où le double flux ça permettra également d'apporter des solutions surtout à des questions telles que les abris provisoires et autres ».
« Comme il a dit lui-même, nous pensons que le président mettra en place aussi un dispositif efficace allant dans le sens de la résorption des abris provisoires pour qu'on ait vraiment une école avec zéro abri provisoire », a-t-il ajouté.
D'autre part également, poursuit-il, « nous saluons en tout cas, les annonces relatives notamment à la réorientation des enseignements apprentissages vers les sciences et la technique parce que nous pensons que notamment aussi les mathématiques ».
Pour le secrétaire général du SAEMSS, ce n’est pas une première d'autant plus que « tout le monde se rappelle que ça fait partie d'une des orientations majeures ici des Assises nationales de 2014 et nous pensons que sa réalisation permettrait à l'école donc d'être beaucoup plus efficace et nous y avons également apprécié deux autres éléments relatifs notamment à l'intégration des langues nationales que nous réclamons depuis quelques temps ainsi que le rôle prépondérant que devrait jouer la formation professionnelle en tant que levier de transformation donc de notre industrie et de notre économie ».
Selon El Hadj Malick Youm, « ce sont des éléments qui participeraient à la prise en charge d'une bonne partie des préoccupations de la plateforme syndicale même si nous savons qu’il y a d'autres éléments sur lesquels l'état du Sénégal est encore attendue ».
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