« Pas assez performant », c'est en ces mots que l'ONU a annoncé le retrait du contingent de casques bleus congolais de la mission onusienne en Centrafrique, la Minusca.
Les 807 soldats et 118 policiers de la RDC ont été remerciés et « ne seront pas remplacés », a par ailleurs indiqué le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric.
Ce sont les capacités des troupes congolaises à remplir « les exigences de l'ONU en matière d'équipement, de contrôle du recrutement et de niveau de préparation au combat » qui sont en cause, a expliqué Stéphane Dujarric.
Cependant et officieusement, ce sont les multiples affaires de viols dans lesquelles ont été cités des éléments du contingent congolais en RCA qui sont à l'origine de ce retrait.
En août, une première affaire de viols éclatait à Bambari, dans le centre du pays, impliquant trois éléments congolais. Et puis, mi-novembre, de nouvelles accusations de viols mettaient à nouveau en cause les casques bleus congolais.
Dans les deux cas, les autorités de Kinshasa avaient étouffé l'affaire malgré les demandes répétées de l'ONU de faire la lumière sur ces accusations.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s'était entretenu avec Joseph Kabila au téléphone. Il lui a fait savoir qu'il serait préférable que le contingent congolais, présent depuis environ deux ans en Centrafrique, ne soit pas remplacé. C'est aujourd’hui chose faite.
source:rfi.fr
Les 807 soldats et 118 policiers de la RDC ont été remerciés et « ne seront pas remplacés », a par ailleurs indiqué le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric.
Ce sont les capacités des troupes congolaises à remplir « les exigences de l'ONU en matière d'équipement, de contrôle du recrutement et de niveau de préparation au combat » qui sont en cause, a expliqué Stéphane Dujarric.
Cependant et officieusement, ce sont les multiples affaires de viols dans lesquelles ont été cités des éléments du contingent congolais en RCA qui sont à l'origine de ce retrait.
En août, une première affaire de viols éclatait à Bambari, dans le centre du pays, impliquant trois éléments congolais. Et puis, mi-novembre, de nouvelles accusations de viols mettaient à nouveau en cause les casques bleus congolais.
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