En dehors de crises courantes que traverse le pays, la tension monte entre le gouvernement congolais et la mission onusienne.
Les deux généraux aux commandes dans l'armée congolaise sont sur la liste rouge de la Monusco, soupçonnés d'avoir commis de graves violations des droits de l'homme.
Cependant, Kinshasa joue la sourde oreille face au refus de la mission de collaborer avec l'armée congolaise dans la traque des FDLR et demande le redimensionnement de la Monusco.
Abordant le point des deux années de mise en œuvre de l'accord cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République Démocratique du Congo, l'envoyé spécial du Secrétaire général, Said Djinnit insiste sur la nécessité de maintenir un état de veille dans la région.
Les prochaines élections en RDC constituent l'autre préoccupation du Conseil de sécurité.
Les 15 membres du conseil entendent réagir dans les tout prochains jours avec l'adoption d'une résolution prioritairement sur le redimensionnement de la MONUSCO.
-
Niger: la Banque mondiale annonce reprendre les décaissements suspendus après le putsch de juillet
-
Tchad: quelle stratégie pour Succès Masra, toujours Premier ministre malgré la présidentielle?
-
Tchad : le Conseil Constitutionnel valide la victoire de Mahamat Déby
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature