Cette démission est survenue huit jours seulement après la validation du mandat de Lukonde en tant que député national. Ayant été élu lors des élections de décembre dans le district de Kasenga, il a manifesté son intention de rejoindre le Parlement.
Une particularité de la législation congolaise stipule que les ministres en exercice ne peuvent pas être membres du parlement, obligeant ainsi Lukonde à faire un choix entre son poste de législateur et son maintien au gouvernement.
Dans un second communiqué émis le même jour, la présidence a indiqué avoir chargé le gouvernement sortant de Lukonde de continuer à administrer le pays jusqu'à la formation d'une nouvelle administration.
La nomination de Jean-Michel Sama Lukonde au poste de Premier ministre remonte à février 2021, suite à la dissolution de l'alliance entre la coalition de Félix Tshisekedi et celle de l'ancien président, Joseph Kabila.
Après sa réélection en décembre dernier, Tshisekedi a désigné un représentant chargé d'identifier une coalition majoritaire au sein de l'Assemblée nationale en vue de former son prochain gouvernement.
Selon les résultats provisoires, qui doivent être confirmés par la Cour constitutionnelle, les partis soutenant Tshisekedi ont remporté près de 94 % des sièges à l'assemblée, soulignant ainsi un soutien massif au président réélu.
Une particularité de la législation congolaise stipule que les ministres en exercice ne peuvent pas être membres du parlement, obligeant ainsi Lukonde à faire un choix entre son poste de législateur et son maintien au gouvernement.
Dans un second communiqué émis le même jour, la présidence a indiqué avoir chargé le gouvernement sortant de Lukonde de continuer à administrer le pays jusqu'à la formation d'une nouvelle administration.
La nomination de Jean-Michel Sama Lukonde au poste de Premier ministre remonte à février 2021, suite à la dissolution de l'alliance entre la coalition de Félix Tshisekedi et celle de l'ancien président, Joseph Kabila.
Après sa réélection en décembre dernier, Tshisekedi a désigné un représentant chargé d'identifier une coalition majoritaire au sein de l'Assemblée nationale en vue de former son prochain gouvernement.
Selon les résultats provisoires, qui doivent être confirmés par la Cour constitutionnelle, les partis soutenant Tshisekedi ont remporté près de 94 % des sièges à l'assemblée, soulignant ainsi un soutien massif au président réélu.
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