Sous une pluie battante, les députés de l’opposition ont progressé au pas de course jusqu’au Palais du Peuple, le siège du Parlement. Ils n’étaient pas seuls. Une partie de la population les a rejoints et, dans la foule, s’élevaient des cris pour dénoncer le texte du projet de loi électorale révisée.
« C’est la manifestation de l’opposition, du peuple congolais qui dit « non » à une loi qui confisque les libertés, qui substitue, au droit de vote, une machine à frauder et qui veut confisquer les libertés en faisant racheter le Congolais par le plus possédant », a déclaré le député Delly Sessanga, élu de Luiza.
De son côté, Baudouin Mayo Mambeke, député et secrétaire général de l’UNC, estime qu’avec cette loi, « un indépendant ne peut plus se présenter et espérer être élu, alors que nous sommes tous Congolais et égaux devant la loi avec l’égalité des chances », a-t-il tenu à préciser.
Pour le député Léon Mondole, il s’agissait d’interpeller la conscience des sénateurs appelés à examiner, ce lundi, le projet de loi électorale révisée.
« Je pense que les sénateurs vont mettre devant leur conscience l’intérêt général, l’intérêt de la République. Nous avons besoin d’élections apaisées », a-t-il rappelé.
L’occasion a été mise également à profit par plusieurs manifestants pour exiger le retour, en homme libre, de l’opposant Moïse Katumbi.
« C’est la manifestation de l’opposition, du peuple congolais qui dit « non » à une loi qui confisque les libertés, qui substitue, au droit de vote, une machine à frauder et qui veut confisquer les libertés en faisant racheter le Congolais par le plus possédant », a déclaré le député Delly Sessanga, élu de Luiza.
De son côté, Baudouin Mayo Mambeke, député et secrétaire général de l’UNC, estime qu’avec cette loi, « un indépendant ne peut plus se présenter et espérer être élu, alors que nous sommes tous Congolais et égaux devant la loi avec l’égalité des chances », a-t-il tenu à préciser.
Pour le député Léon Mondole, il s’agissait d’interpeller la conscience des sénateurs appelés à examiner, ce lundi, le projet de loi électorale révisée.
« Je pense que les sénateurs vont mettre devant leur conscience l’intérêt général, l’intérêt de la République. Nous avons besoin d’élections apaisées », a-t-il rappelé.
L’occasion a été mise également à profit par plusieurs manifestants pour exiger le retour, en homme libre, de l’opposant Moïse Katumbi.
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