Depuis mardi dernier, l’armée congolaise ratisse la zone du côté du territoire de Bagata. Objectif : retrouver les miliciens suspectés d’avoir tué une dizaine de civils le 1er avril lors d’un raid mené dans la nuit sur une ferme près du village Mayala. Les forces de l’ordre sont intervenues et des combats ont fait plusieurs morts côté assaillants et un décès dans les rangs des FARDC.
Pour le porte-parole de l’armée dans la zone, les auteurs de cette attaque font partie d’un groupe de Mobondo qui refuse de déposer les armes alors qu’une partie des rebelles ont accepté d’entrer dans processus de désarmement.
Actuellement, une délégation de l’État congolais mène une mission de sensibilisation dans le Grand Bandundu. « Elle essaye de convaincre les jeunes de ne pas rejoindre les milices », explique le capitaine Anthony.
Du côté de la société civile, on s’inquiète de cette nouvelle montée de violence. Un responsable explique que si l’armée est bien visible dans certaines localités, d’autres sont laissées à leur propre sort. « C’est pourquoi les atrocités continuent », estime-t-il. Des attaques qui ont provoqué ces dernières semaines de nouveaux déplacements de population dans la zone.
Pour le porte-parole de l’armée dans la zone, les auteurs de cette attaque font partie d’un groupe de Mobondo qui refuse de déposer les armes alors qu’une partie des rebelles ont accepté d’entrer dans processus de désarmement.
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