En République démocratique du Congo (RDC), le président Félix Tshisekedi a déploré le 30 mai 2025 « l’opacité persistante » concernant la représentation de l’État congolais dans les coentreprises minières, trois ans après avoir pourtant ordonné un contrôle systématique des actifs miniers publics.
n République démocratique du Congo (RDC), le président Félix Tshisekedi a exprimé son insatisfaction, déplorant le 30 mai 2025 « l’opacité persistante » entourant la représentation de l’État dans les joint-ventures minières, les entreprises du secteur minier dans lesquelles l'État n'est pas le seul actionnaire et qui sont au nombre de 25.
Il y trois ans, le chef de l'Etat, avait pourtant ordonné un contrôle systématique des actifs miniers publics. Mais l’État congolais ne profiterait pas vraiment de ses placements.
C'est en conseil des ministres que le président a déploré l’absence de résultats concrets, près de trois ans après avoir instruit les ministres des Mines et du Portefeuille de contrôler la gestion des participations de l’État dans une vingtaine d'entreprises minières. Ce contrôle devait notamment permettre d’identifier les actifs issus des exploitations minières, d’évaluer les recettes dues au Trésor public et de vérifier la légitimité des représentants de l’État dans ces entreprises.
n République démocratique du Congo (RDC), le président Félix Tshisekedi a exprimé son insatisfaction, déplorant le 30 mai 2025 « l’opacité persistante » entourant la représentation de l’État dans les joint-ventures minières, les entreprises du secteur minier dans lesquelles l'État n'est pas le seul actionnaire et qui sont au nombre de 25.
Il y trois ans, le chef de l'Etat, avait pourtant ordonné un contrôle systématique des actifs miniers publics. Mais l’État congolais ne profiterait pas vraiment de ses placements.
C'est en conseil des ministres que le président a déploré l’absence de résultats concrets, près de trois ans après avoir instruit les ministres des Mines et du Portefeuille de contrôler la gestion des participations de l’État dans une vingtaine d'entreprises minières. Ce contrôle devait notamment permettre d’identifier les actifs issus des exploitations minières, d’évaluer les recettes dues au Trésor public et de vérifier la légitimité des représentants de l’État dans ces entreprises.
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