
« Il n’a pas le droit d’avoir la visite de son avocat, il n’a pas le droit de voir les membres de sa famille, il n’y a que sa femme qui peut aller lui rendre visite. Il mange difficilement, il se lève à peine. Lorsqu’il a été amené à l'Agence nationale des renseignements, on lui a fait signifier qu’il est en détention pour avoir attenté à la sureté de l’État, mais jusqu’à ce jour, on ne lui a jamais présenté les faits et curieusement on ne peut pas vérifier, c’est vraiment de l’abus de pouvoir. Après 120 jours de détention, tout officier de la police judiciaire moyennement intelligent devait constater qu’il n’y a pas de suite. »
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