La date du rapatriement du corps d’Etienne Tshisekedi à Kinshasa n’est toujours pas connue, car pour la famille, les conditions de ce rapatriement ne sont toujours pas remplies. Il faut d’abord se mettre d’accord sur le lieu de sépulture où sera érigé un mausolée.
Le clan Tshisekedi a proposé plusieurs sites dans la capitale : devant le palais de justice, sur la place Triomphale, mais ces propositions ont, semble-t-il, toutes été rejetées par les autorités de Kinshasa. « Il faut aussi s’assurer que les obsèques d’Etienne Tshisekedi se dérouleront dans de bonnes conditions de sécurité, insiste son fils Félix, car mon père était un homme de paix. Nous ne voulons pas que ses funérailles se transforment en un bain sang », précise-t-il.
Début de polémique
Enfin les obsèques devraient avoir lieu après la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre mais contrairement au point précédent, celui-ci n’est pas une condition sine qua none au rapatriement de la dépouille.
En parallèle, un début de polémique est en train de poindre. La famille Tshisekedi annonce qu’elle pourrait demander une autopsie. Elle soupçonne en effet une erreur médicale et s’interroge. « Pourquoi a-t-il fallu attendre autant de temps pour opérer mon père alors qu’il avait très mal à la jambe gauche ? se demande Félix. Pourquoi avoir réalisé une anesthésie générale, là où une anesthésie locale aurait pu suffire ? », poursuit-il. Pour rappel, Etienne Tshisekedi est décédé, selon les médecins, d’une embolie pulmonaire. L’autopsie du corps pourrait encore retarder le rapatriement de la dépouille.
Le clan Tshisekedi a proposé plusieurs sites dans la capitale : devant le palais de justice, sur la place Triomphale, mais ces propositions ont, semble-t-il, toutes été rejetées par les autorités de Kinshasa. « Il faut aussi s’assurer que les obsèques d’Etienne Tshisekedi se dérouleront dans de bonnes conditions de sécurité, insiste son fils Félix, car mon père était un homme de paix. Nous ne voulons pas que ses funérailles se transforment en un bain sang », précise-t-il.
Début de polémique
Enfin les obsèques devraient avoir lieu après la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre mais contrairement au point précédent, celui-ci n’est pas une condition sine qua none au rapatriement de la dépouille.
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