L'Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal (Unsas) n’est pas contente du régime de Macky Sall. Dans une déclaration rendue publique ce vendredi, ces syndicalistes ont passé en revue les différents secteurs de la société pour arriver à la conclusion que ce gouvernement est à l’origine des agitations du front social, suscitant sa montée au créneau.
«L’UNSAS demeure vivement préoccupée par la dégradation du climat social dans des secteurs vitaux tels que la santé, la Poste, la justice, les transports, la manutention… », a diagnostiqué la centrale syndicale qui faisait l’état des lieux du climat social.
Dans un document parvenu à PressAfrik, les camarades de Mademba Sock dénoncent cette situation qui n’épargne pratiquement aucun secteur. Car, «dans le secteur de la justice, le SYSTJUST se voit obligé de relever le ton de la protestation pour réclamer la matérialisation de tous les engagements… ».
Pendant ce temps, «ailleurs, dans le secteur de la santé, après avoir octroyé une indemnité à un corps, le Gouvernement refuse d’ouvrir des négociations sérieuses sur le régime indemnitaire et impose à l’alliance Andë Gëssëm de poursuivre sa lutte pour réclamer des indemnités de responsabilité, de risque et de représentation paramédicales que tous les agents médicaux méritent eu égard à la pénibilité de leur métier. », s'indignent-ils.
Ces conclusions sont identiques à celles qui sont sortie des constats concernant les domaines de l’éducation avec les menaces qui planent sur l’année scolaire alors celle-ci vient juste de démarrer, entre autres.
Face à ces situations qui «polluent le dialogue social et affectent dangereusement l’économie du pays », l’Unsas «invite le Gouvernement à matérialiser sans délai les accords déjà signés avec tous les syndicats des travailleurs. Elle exige des autorités étatiques la finalisation des discussions sur le système de rémunération en vue d’un traitement juste et équitable de tous les agents de la Fonction publique».
Avant de conclure : «l’Unsas réaffirme son soutien à tous les travailleurs en lutte et les encourage à la solidarité et à la mobilisation jusqu’à la satisfaction totale de leurs revendications légitimes.»
«L’UNSAS demeure vivement préoccupée par la dégradation du climat social dans des secteurs vitaux tels que la santé, la Poste, la justice, les transports, la manutention… », a diagnostiqué la centrale syndicale qui faisait l’état des lieux du climat social.
Dans un document parvenu à PressAfrik, les camarades de Mademba Sock dénoncent cette situation qui n’épargne pratiquement aucun secteur. Car, «dans le secteur de la justice, le SYSTJUST se voit obligé de relever le ton de la protestation pour réclamer la matérialisation de tous les engagements… ».
Pendant ce temps, «ailleurs, dans le secteur de la santé, après avoir octroyé une indemnité à un corps, le Gouvernement refuse d’ouvrir des négociations sérieuses sur le régime indemnitaire et impose à l’alliance Andë Gëssëm de poursuivre sa lutte pour réclamer des indemnités de responsabilité, de risque et de représentation paramédicales que tous les agents médicaux méritent eu égard à la pénibilité de leur métier. », s'indignent-ils.
Ces conclusions sont identiques à celles qui sont sortie des constats concernant les domaines de l’éducation avec les menaces qui planent sur l’année scolaire alors celle-ci vient juste de démarrer, entre autres.
Face à ces situations qui «polluent le dialogue social et affectent dangereusement l’économie du pays », l’Unsas «invite le Gouvernement à matérialiser sans délai les accords déjà signés avec tous les syndicats des travailleurs. Elle exige des autorités étatiques la finalisation des discussions sur le système de rémunération en vue d’un traitement juste et équitable de tous les agents de la Fonction publique».
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