«Demain (ndlr aujourd’hui), nous rencontrons le gouvernement, cette histoire du bac peut s’inviter aux débats mais nous avons une forte préoccupation liée naturellement au non-respect des accords signés avec le gouvernement», précise le Secrétaire général du SAEMS-CUSEMS au téléphone de PressAfrik.
Saourou Sène qui évoque «des points tenaces qui sont là devant (eux) et devant le gouvernement et pour lesquels le gouvernement ne peut pas ne pas apporter des réponses claires», annonce «des questions qui relèvent de signatures de décrets depuis 2012». «On ne peut pas me dire que le président de la République n’a pas la disponibilité de signer ces décrets-là», relève-t-il en faisant état de «la question du système de rémunération des agents de la Fonction publique sénégalaise ».
Sur ce point, « l’actualité nous rattrape d’ailleurs car la chancelière allemande Angela Merkel disait déjà aux ingénieurs, aux magistrats qui demandaient à ce qu’on les aligne au même niveau que les enseignants: " Vous souhaitez que je vous traite sur le même pied que les gens qui vous ont enseignés ", comme pour dire la considération qu’elle a vis-à-vis des enseignants », dit-il.
« Aujourd’hui, au Sénégal, c’est les Enseignants qui demandent au moins une toute petite amélioration de leur situation. Le gouvernement tente de nier. Et pourtant, il y a une étude qui avait été faite et qui prouve nettement qu’il y a une iniquité dans le traitement des agents de la Fonction publique sénégalaise. Je crois que c’est des questions sur lesquelles, nous attendons des réponses encore que le président de la République lors de la fête du 1er mai, lui-même, il a constaté la disparité du traitement salarial au niveau nationale. Donc, c’est un ensemble de questions sur lesquelles nous serons appelés (ce jeudi) à discuter avec le gouvernement », revendique le syndicaliste.
Saourou Sène qui évoque «des points tenaces qui sont là devant (eux) et devant le gouvernement et pour lesquels le gouvernement ne peut pas ne pas apporter des réponses claires», annonce «des questions qui relèvent de signatures de décrets depuis 2012». «On ne peut pas me dire que le président de la République n’a pas la disponibilité de signer ces décrets-là», relève-t-il en faisant état de «la question du système de rémunération des agents de la Fonction publique sénégalaise ».
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