
Si la coalition Yewwi Askan Wi a reporté sa manifestation qui était prévue le 29 juin passé, « c’est parce que des acteurs de la société civile, des hommes d’affaires, et même des religieux ont pris les devants en allant rencontrer ses principaux leaders ». La révélation a été faite par Alioune Tine à l’émission Jury du dimanche (Jdd) ce 3 juillet, sur I-radio qui évoque d’autres facteurs qui ont contribué au changement de décision de Ousmane Sonko et de ses camarades.
« Il me semble qu’il y a eu une responsabilité imminente des autorités publiques qui ont, quand même, envoyé un message en libérant les députés et les militants arrêtés le 17 juin. Cela a été un message fort pour dire que nous avons fait un pas », a déclaré le directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre.
L’initiateur du Think Tank d’Afrikajom Center a aussi affirmé qu’il y a eu des concessions de part et d’autre, aboutissant ainsi à la réussite de la médiation.
S’exprimant toujours sur les raisons qui ont fait reculer l’opposition, il a soutenu que les leaders ont fait l’analyse du contexte avec l’approche de la fête de tabaski et les examens de fin d’année. « Ils ont également un sens des responsabilités aiguë en acceptant d’aller aux élections avec la liste de leurs suppléants en se conformant à la décision du Conseil constitutionnel. YAW a apprécié la situation et écouté les populations, les chefs religieux, la société civile », a expliqué Alioune Tine.
Poursuivant, il a ajouté que dans leur médiation caractérisée par des rencontres avec les acteurs politiques, ils ont été reçus par le ministre de l’Intérieur au nom du chef de l’Etat. Les médiateurs ont ensuite rencontré les responsables de la coalition Benno Bokk Yaakar. « Il y a de fortes recommandations qui sont sorties de nos échanges. J’étais agréablement surpris d’ailleurs quand ils ont dit qu’il faudrait que l’on évalue ce qui s’est passé. Que l’on examine les textes, évalue le processus pour voir ce qu’il faut corriger. Ils nous ont assuré aussi que s’il y a une charte de la paix, ils sont prêts à la signer », a indiqué Alioune Tine.
« Il me semble qu’il y a eu une responsabilité imminente des autorités publiques qui ont, quand même, envoyé un message en libérant les députés et les militants arrêtés le 17 juin. Cela a été un message fort pour dire que nous avons fait un pas », a déclaré le directeur régional d'Amnesty International pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre.
L’initiateur du Think Tank d’Afrikajom Center a aussi affirmé qu’il y a eu des concessions de part et d’autre, aboutissant ainsi à la réussite de la médiation.
S’exprimant toujours sur les raisons qui ont fait reculer l’opposition, il a soutenu que les leaders ont fait l’analyse du contexte avec l’approche de la fête de tabaski et les examens de fin d’année. « Ils ont également un sens des responsabilités aiguë en acceptant d’aller aux élections avec la liste de leurs suppléants en se conformant à la décision du Conseil constitutionnel. YAW a apprécié la situation et écouté les populations, les chefs religieux, la société civile », a expliqué Alioune Tine.
Poursuivant, il a ajouté que dans leur médiation caractérisée par des rencontres avec les acteurs politiques, ils ont été reçus par le ministre de l’Intérieur au nom du chef de l’Etat. Les médiateurs ont ensuite rencontré les responsables de la coalition Benno Bokk Yaakar. « Il y a de fortes recommandations qui sont sorties de nos échanges. J’étais agréablement surpris d’ailleurs quand ils ont dit qu’il faudrait que l’on évalue ce qui s’est passé. Que l’on examine les textes, évalue le processus pour voir ce qu’il faut corriger. Ils nous ont assuré aussi que s’il y a une charte de la paix, ils sont prêts à la signer », a indiqué Alioune Tine.
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