Le Cices, l’Institut islamique et le Lycée Maurice Delafosse étaient choisis pour abriter les séances de cours de remédiations. Cette mesure concernait les étudiants de la Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. D’après le journal, Bés Bi, cette reprise des cours en présentiel s’est soldée par un échec. Selon toujours le quotidien du groupe Emedia, le centre international de commerce extérieur du Sénégal (Cices) n’a enregistré aucune présence d’étudiants et d’enseignants, à ce jour. L’explication de ce ratage, à en croire le directeur du Cices, est d’ordre financier.
Monsieur Saliou Keita qui réclamait une contrepartie financière campe encore sur ses positions. Sur les ondes d’Iradio et en ces termes, monsieur Keita a réitéré cette requête. « (…). Le Cices est une institution de l’Etat certes, mais nous sommes une structure évènementielle. Nous avons nos salles, nos pavillons, nous avons de l’espace qu’on met en location. Parce que l’Etat ne nous donne que 20% de notre budget. Les charges les salaires sont payés à partir des recettes d’exploitation », a-t-il fait savoir.
Et mieux poursuit, monsieur Keita, « si nous acceptons de recevoir les étudiants, ça ne devrait pas être gratuit ».
Cependant les ratages de cette reprise ne s’expliquent, seulement, pas sur la base de l’argumentation du directeur du Cices. Au-delà, il y a l’énigme du problème de l’ouverture du campus social. Qui reste, tout de même, une autre équation pour les autorités universitaires.
Monsieur Saliou Keita qui réclamait une contrepartie financière campe encore sur ses positions. Sur les ondes d’Iradio et en ces termes, monsieur Keita a réitéré cette requête. « (…). Le Cices est une institution de l’Etat certes, mais nous sommes une structure évènementielle. Nous avons nos salles, nos pavillons, nous avons de l’espace qu’on met en location. Parce que l’Etat ne nous donne que 20% de notre budget. Les charges les salaires sont payés à partir des recettes d’exploitation », a-t-il fait savoir.
Et mieux poursuit, monsieur Keita, « si nous acceptons de recevoir les étudiants, ça ne devrait pas être gratuit ».
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