Le président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré a plaidé pour un renforcement de la coopération militaire et le transfert de connaissances, car « finir avec la guerre, avoir une armée forte et lancer le développement » du Burkina Faso tel est « l’essence » de son combat, a-t-il fait savoir.
Au cours de l’entretien, ce 10 mai, à Moscou, le président russe a souligné que ce qui unit la Russie et le Burkina Faso aujourd’hui, « c’est la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme » et qu’il s’agit de « restaurer l’ordre constitutionnel » face à des groupes radicaux dans certaines régions du Burkina Faso. Vladimir Poutine a reconnu que les échanges sont « modestes » entre les deux pays, mais veut « travailler au renforcement [des] relations économiques et des échanges commerciaux ».
Rester sur le devant de la scène internationale
Le capitaine Ibrahim Traoré affirme avoir « tiré des leçons » de son séjour à Moscou, notamment de la capacité de la Russie « à rester sur le devant de la scène internationale » malgré les sanctions. Le chef de l’État burkinabé souhaite renforcer la coopération militaire avec la Russie, car la guerre imposée à son pays n’est, selon lui, « qu'une manifestation du nazisme ». « Ce n’est pas du terrorisme, c’est de l’impérialisme » a-t-il dit face au président russe.
Et l’aide que la Russie pourrait aujourd’hui octroyer au Burkina Faso, « ce sont les connaissances », a précisé le capitaine Traoré, afin de « former sa jeunesse ». Le président russe a promis « une multiplication par deux » du nombre de bourses accordées aux citoyens burkinabés.
Au cours de l’entretien, ce 10 mai, à Moscou, le président russe a souligné que ce qui unit la Russie et le Burkina Faso aujourd’hui, « c’est la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme » et qu’il s’agit de « restaurer l’ordre constitutionnel » face à des groupes radicaux dans certaines régions du Burkina Faso. Vladimir Poutine a reconnu que les échanges sont « modestes » entre les deux pays, mais veut « travailler au renforcement [des] relations économiques et des échanges commerciaux ».
Rester sur le devant de la scène internationale
Le capitaine Ibrahim Traoré affirme avoir « tiré des leçons » de son séjour à Moscou, notamment de la capacité de la Russie « à rester sur le devant de la scène internationale » malgré les sanctions. Le chef de l’État burkinabé souhaite renforcer la coopération militaire avec la Russie, car la guerre imposée à son pays n’est, selon lui, « qu'une manifestation du nazisme ». « Ce n’est pas du terrorisme, c’est de l’impérialisme » a-t-il dit face au président russe.
Et l’aide que la Russie pourrait aujourd’hui octroyer au Burkina Faso, « ce sont les connaissances », a précisé le capitaine Traoré, afin de « former sa jeunesse ». Le président russe a promis « une multiplication par deux » du nombre de bourses accordées aux citoyens burkinabés.
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