Parmi les actes posés par l’équipe de Karim Wade, les travailleurs dénoncent ainsi les audits, « les audits n’ont rien donné que nous ne connaissions déjà et que la fameuse commission de crise et le plan d’urgence n’ont pas empêché de faire appel à Edf avec des experts étrangers moins performants », ce que le syndicat analyse comme, « un besoin de servir des intérêts inavoués et un manque de respect pour les travailleurs de la Sénélec ».
Relativement au plan de délestage, le syndicat pense que la Sénélec n’est pas dans la possibilité de le respecter. « Comment dans un souci de communication, de transparence la Sénélec peut avancer un plan de délestages tout en sachant qu’elle n’est pas en situation de le respecter », se demande les travailleurs qui dénoncent aussi « des errements dans le management » de cette boîte.
Le Sutelec très en colère contre les responsables de l’énergie pense que « les solutions ne peuvent pas venir des politiques qui ont fini de mettre à genoux l’essentiel des grosses entreprises nationales ». Tout de même, ils dégagent des solutions à travers leur communiqué, ainsi l’Etat est invité « à reverser tout ou une partie des fonds pour la sécurité des importations de combustibles à la Sénélec, verser sans tarder les compensations, trouver des crédits pour recouvrer la puissance des groupes qui sont restés longtemps sans maintenance, finaliser l’option d’achat de Gti ». Sur le fonctionnement interne de la société, le Sutelec demande, « l’arrêt des recrutements de complaisance et l’amélioration de la lutte contre la fraude, l’utilisation rationnelle des compétences ».
Relativement au plan de délestage, le syndicat pense que la Sénélec n’est pas dans la possibilité de le respecter. « Comment dans un souci de communication, de transparence la Sénélec peut avancer un plan de délestages tout en sachant qu’elle n’est pas en situation de le respecter », se demande les travailleurs qui dénoncent aussi « des errements dans le management » de cette boîte.
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