
Depuis la dissolution de la quatorzième législature, les parlementaires n'ont jusque là pas perçu leurs salaires. Cette situation, selon Abdou Mbow, incombant des nouvelles autorités n'en est pas une surprise. Parlant de cette affaire de salaires impayés sur les ondes de la RFM, l'ancien député déclarer : "absolument rien ne me surprendra venant de ces autorités. Parce qu'ils ne respectent pas la République, ils ne respectent les lois et règlements".
Toujours de l'avis de l'ancien député de BBY, le Premier ministre Ousmane Sonko a mis ses menaces en exécution. Ainsi, confie-t-il, "vous aviez entendu le Premier ministre déclarer et il l'a fait qu'il va bloquer les fonds de fonctionnement des institutions et le Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et le Conseil économique social et environnemental (CESE). Alors que ce sont des institutions constitutionnelles. Aujourd'hui, ils ont bloqué les fonds de fonctionnement de l'Assemblée nationale. La Constitution dit clairement que l'Assemblée dissoute n'a plus droit de se réunir. Toutefois, le mandat des députés expire lors de la proclamation officielle des députés élus. Donc, ils ont droit à leurs avantages. Il faut qu'il sache que les gens vivent sans ses salaires".
Par cette tribune offerte par la RFM, monsieur Mbow de donner d'autres arguments liés à cette affaire de blocage de salaires. "Parce que ce sont des hors la loi. Ils ne respectent aucune loi. Ils ne respectent pas la République. Nous avons encore des jours sombres devant nous avec ces autorités qui ne connaissent absolument rien du fonctionnement de l'Etat", a ajouté le député.
"Nous, on ne va pas parler. On est en train de préparer des élections législatives. Ils seront battus et ils sauront que ce pays n'est pas leur chasse gardée. On est pas dans une dictature mais dans une République", a fait savoir l'ancien parlementaire.
Sur ce, le porte- parole du gouvernement M. Amadou Moustapha Ndieck SARRE, ministre de la Formation professionnelle, a fait savoir que l'Exécutif n'était en rien concerné par cette situation, arguant que l'Assemblée nationale a une autonomie de gestion et une autonomie financière.
Toujours de l'avis de l'ancien député de BBY, le Premier ministre Ousmane Sonko a mis ses menaces en exécution. Ainsi, confie-t-il, "vous aviez entendu le Premier ministre déclarer et il l'a fait qu'il va bloquer les fonds de fonctionnement des institutions et le Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT) et le Conseil économique social et environnemental (CESE). Alors que ce sont des institutions constitutionnelles. Aujourd'hui, ils ont bloqué les fonds de fonctionnement de l'Assemblée nationale. La Constitution dit clairement que l'Assemblée dissoute n'a plus droit de se réunir. Toutefois, le mandat des députés expire lors de la proclamation officielle des députés élus. Donc, ils ont droit à leurs avantages. Il faut qu'il sache que les gens vivent sans ses salaires".
Par cette tribune offerte par la RFM, monsieur Mbow de donner d'autres arguments liés à cette affaire de blocage de salaires. "Parce que ce sont des hors la loi. Ils ne respectent aucune loi. Ils ne respectent pas la République. Nous avons encore des jours sombres devant nous avec ces autorités qui ne connaissent absolument rien du fonctionnement de l'Etat", a ajouté le député.
"Nous, on ne va pas parler. On est en train de préparer des élections législatives. Ils seront battus et ils sauront que ce pays n'est pas leur chasse gardée. On est pas dans une dictature mais dans une République", a fait savoir l'ancien parlementaire.
Sur ce, le porte- parole du gouvernement M. Amadou Moustapha Ndieck SARRE, ministre de la Formation professionnelle, a fait savoir que l'Exécutif n'était en rien concerné par cette situation, arguant que l'Assemblée nationale a une autonomie de gestion et une autonomie financière.
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