Huit (8) jeunes, quatre couples âgés de 21 ans et moins, ont été interpellés fin juillet dans une résidence à Saly Portudal (sur la petite côte), en plein "chemsex" (consommation de drogues pour intensifier les rapports sexuels). Leur procès a eu lieu hier, mardi, au Tribunal de Mbour.
Selon le récit des faits, les quatre couples avaient loué une résidence pour deux jours de "fêtes perverses" mêlant sexe, alcool, cocaïne et chanvre indien. Leur comportement bruyant, sous l'emprise des substances, a alerté les autres résidents, qui ont prévenu la police.
À leur arrivée, les policiers du commissariat de Saly Portudal ont surpris les couples en flagrant délit. Une fouille a permis de découvrir de la cocaïne et du chanvre indien dans leurs bagages. L'une des jeunes femmes, B. Badji, aurait été identifiée comme le cerveau présumé du groupe, réputée dans le milieu du trafic de drogue.
Devant le tribunal, les quatre jeunes femmes ont tenté de rejeter la faute sur leurs partenaires, affirmant qu'ils étaient les seuls responsables de la détention et de l'usage de la drogue. Le procureur, visiblement consterné, a sermonné les prévenus, en particulier les jeunes filles, pour s'être adonnées à de "telles pratiques malsaines".
Finalement, le tribunal a statué sur la relaxe des quatre jeunes femmes des délits de détention et d'usage de drogue. Les quatre hommes, en revanche, ont été condamnés à des peines de prison ferme : un mois ferme pour P. Guèye, A. Babou et Th. Ndao, chez qui de la cocaïne a été trouvée, et 15 jours ferme pour O. Cissé, qui avait du chanvre indien.
Selon le récit des faits, les quatre couples avaient loué une résidence pour deux jours de "fêtes perverses" mêlant sexe, alcool, cocaïne et chanvre indien. Leur comportement bruyant, sous l'emprise des substances, a alerté les autres résidents, qui ont prévenu la police.
À leur arrivée, les policiers du commissariat de Saly Portudal ont surpris les couples en flagrant délit. Une fouille a permis de découvrir de la cocaïne et du chanvre indien dans leurs bagages. L'une des jeunes femmes, B. Badji, aurait été identifiée comme le cerveau présumé du groupe, réputée dans le milieu du trafic de drogue.
Devant le tribunal, les quatre jeunes femmes ont tenté de rejeter la faute sur leurs partenaires, affirmant qu'ils étaient les seuls responsables de la détention et de l'usage de la drogue. Le procureur, visiblement consterné, a sermonné les prévenus, en particulier les jeunes filles, pour s'être adonnées à de "telles pratiques malsaines".
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