
Le ministère de l'Intérieur, Général Jean Baptiste Tine et ses services ont décidé d'organiser, du 1er février au 31 juillet 2025, une révision ordinaire des listes électorales.
Ceci, conformément aux dispositions du Code électoral en son article 37 qui stipule : « Les listes électorales sont permanentes. Elles font l'objet d'une révision annuelle initiée par l'Administration. Sauf cas de force majeure, cette révision dite ordinaire se déroule dans les délais fixés par le présent Code (...) ». Il est clair, donc, que cette disposition du Code électoral n'a pas été respectée par les autorités étatiques, car la dernière révision ordinaire des listes électorales remonte à 2016. Ces dernières années, il n'y a eu que des révisions extraordinaires, également défini et encadrées par la loi électorale sénégalaise.
En effet, rapporte L'Observateur, l'article 37 du Code électoral, avant chaque élection générale, une révision exceptionnelle est décidée par un décret qui détermine la durée des opérations et le délai des contentieux. « Dans ce cas, lit-on dans le même article, il n'y aura pas de révision ordinaire.
Toutefois, la révision exceptionnelle peut être décidée dans la même forme, en cas d'élection anticipée ou de référendum. Si les délais d'organisation d'une élection anticipée ou d'un référendum ne permettent pas le déroulement normal d'une révision exceptionnelle, l'élection ou la consultation est faite sur la base de la liste électorale révisée dans l'année en cours. . »
Pour cette présente révision ordinaire, qui va durer six mois, les autorités étatiques prennent les dispositions nécessaires pour qu'elle puisse se tenir dans de bonnes conditions. Le ministère de l'Intérieur et ses services s'activent, à cet effet, depuis quelques jours, en rapport avec les acteurs concernés.
Déjà, selon le Code électoral, la révision ordinaire est exécutée par les commissions administratives composées d'un président et d'un suppléant désignés par le préfet ou le sous-préfet, du maire ou de son représentant, et d'un représentant de chaque parti politique légalement constitué ou coalition de partis politiques légalement constitués, déclarée à cet effet auprès de l'autorité compétente.
Ceci, conformément aux dispositions du Code électoral en son article 37 qui stipule : « Les listes électorales sont permanentes. Elles font l'objet d'une révision annuelle initiée par l'Administration. Sauf cas de force majeure, cette révision dite ordinaire se déroule dans les délais fixés par le présent Code (...) ». Il est clair, donc, que cette disposition du Code électoral n'a pas été respectée par les autorités étatiques, car la dernière révision ordinaire des listes électorales remonte à 2016. Ces dernières années, il n'y a eu que des révisions extraordinaires, également défini et encadrées par la loi électorale sénégalaise.
En effet, rapporte L'Observateur, l'article 37 du Code électoral, avant chaque élection générale, une révision exceptionnelle est décidée par un décret qui détermine la durée des opérations et le délai des contentieux. « Dans ce cas, lit-on dans le même article, il n'y aura pas de révision ordinaire.
Toutefois, la révision exceptionnelle peut être décidée dans la même forme, en cas d'élection anticipée ou de référendum. Si les délais d'organisation d'une élection anticipée ou d'un référendum ne permettent pas le déroulement normal d'une révision exceptionnelle, l'élection ou la consultation est faite sur la base de la liste électorale révisée dans l'année en cours. . »
Pour cette présente révision ordinaire, qui va durer six mois, les autorités étatiques prennent les dispositions nécessaires pour qu'elle puisse se tenir dans de bonnes conditions. Le ministère de l'Intérieur et ses services s'activent, à cet effet, depuis quelques jours, en rapport avec les acteurs concernés.
Déjà, selon le Code électoral, la révision ordinaire est exécutée par les commissions administratives composées d'un président et d'un suppléant désignés par le préfet ou le sous-préfet, du maire ou de son représentant, et d'un représentant de chaque parti politique légalement constitué ou coalition de partis politiques légalement constitués, déclarée à cet effet auprès de l'autorité compétente.
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