Venu présider la cérémonie de signature du contrat d’achat d’énergie, le Directeur général de la Senelec, Mouhamadou Makhtar Cissé estime que cette signature de contrat est venue à son heure du fait que le rythme de croissance des Sénégalais est assez soutenu. Il faut également adopter un rythme de système de production très élevé.
«Depuis 2012, nous étions à 150 mégawatt. Mais actuellement nous en sommes à 300 mégawatt qui ont été injectés dans le réseau de Senelec. En plus des autres centrales qui seront inaugurées prochainement, notamment la centrale de Teukmédina avec 30 mégawatt de solaire mais également celle de Sindou pour 125 mégawatt », a-t-il annoncé.
Mouhamadou Makhtar Cissé reste convaincu que dans cette dynamique le Sénégal va entrer dans l’ère des gigawatt, avec l’appui de la création de toutes ces centrales d’une capacité d’énergie de 1000 mégawatt.
Avant d’expliquer que : «Cette signature d’achat d’énergie traduit un autre aspect de la politique énergétique de l’Etat du Sénégal à savoir la privatisation de la production. C’est le 12eme contrat que la Senelec signe avec des privés. La mise en place d’une centrale prend 6 mois et sa construction, 18 mois. Ils ont déjà anticipé sur beaucoup de choses pour que d’ici 2019 le 1er Kwatt heure puisse être injecté dans le réseau de la Senelec, pour lui permettre d’être plus confortable ».
A l’en croire, le développement de l’Afrique passera par le développement de ses infrastructures routières, ferroviaires mais également par des infrastructures énergétiques.
Avec la création de cette centrale à Malicounda, souligne-t-il des contraintes environnementales seront relevées, mais il reste les problèmes avec les collectivités locales. Avant de préciser que cette initiative va permettre à la population de cette localité de bénéficier de retombées fiscales, mais aussi de l’employabilité de ses jeunes.
Pour sa part, le Directeur de Matelec Africa 50 reste convaincu que le défi est grand, avant d’estimer toute sa gratitude à l’égard des responsables de la Senelec.
Pour conclure, il a indiqué que sa société est consciente des enjeux du projet. C'est dans ce sens, affirme-t-il, que toutes les ressources de son groupe ont été mises à contribution «pour aller plus vite que le délai contractuelle que nous avons déjà signé. Nous avons déjà entamé les démarches et les travaux d’ingénierie».
«Depuis 2012, nous étions à 150 mégawatt. Mais actuellement nous en sommes à 300 mégawatt qui ont été injectés dans le réseau de Senelec. En plus des autres centrales qui seront inaugurées prochainement, notamment la centrale de Teukmédina avec 30 mégawatt de solaire mais également celle de Sindou pour 125 mégawatt », a-t-il annoncé.
Mouhamadou Makhtar Cissé reste convaincu que dans cette dynamique le Sénégal va entrer dans l’ère des gigawatt, avec l’appui de la création de toutes ces centrales d’une capacité d’énergie de 1000 mégawatt.
Avant d’expliquer que : «Cette signature d’achat d’énergie traduit un autre aspect de la politique énergétique de l’Etat du Sénégal à savoir la privatisation de la production. C’est le 12eme contrat que la Senelec signe avec des privés. La mise en place d’une centrale prend 6 mois et sa construction, 18 mois. Ils ont déjà anticipé sur beaucoup de choses pour que d’ici 2019 le 1er Kwatt heure puisse être injecté dans le réseau de la Senelec, pour lui permettre d’être plus confortable ».
A l’en croire, le développement de l’Afrique passera par le développement de ses infrastructures routières, ferroviaires mais également par des infrastructures énergétiques.
Avec la création de cette centrale à Malicounda, souligne-t-il des contraintes environnementales seront relevées, mais il reste les problèmes avec les collectivités locales. Avant de préciser que cette initiative va permettre à la population de cette localité de bénéficier de retombées fiscales, mais aussi de l’employabilité de ses jeunes.
Pour sa part, le Directeur de Matelec Africa 50 reste convaincu que le défi est grand, avant d’estimer toute sa gratitude à l’égard des responsables de la Senelec.
Pour conclure, il a indiqué que sa société est consciente des enjeux du projet. C'est dans ce sens, affirme-t-il, que toutes les ressources de son groupe ont été mises à contribution «pour aller plus vite que le délai contractuelle que nous avons déjà signé. Nous avons déjà entamé les démarches et les travaux d’ingénierie».
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