La mine des mauvais jours suite à la menace de fermeture qui plane sur son groupe de presse, le Président Directeur Général du groupe Walfadjri qui dénonce « l’acharnement de régime contre son groupe de presse » tient à préciser.
« Le fisc est venu nous rendre visite, il y a cela quelques mois et il nous avait félicité parce que tous les documents étaient bien présentés. Mais bizarrement les agents du fisc ne voulaient pas rentrer bredouille avec les convictions qu’ils vont ramener quelque chose de scandaleux», lâche Sidy Lamine Niasse qui enfonce le clou, «Walfadjri ne doit rien à personne même à l’Ipres, nous avons cotisé. C’est le ministre du budget qui avait dit qu’il allait amnestier la presse (2010). Mais, il fallait trouver quelque chose pour notre compte. Donc, partant de ces éléments, on a répondu et on leur à montrer que nous n’étions pas concernés. Alors, ils m’ont dit qu’ils n’ont pas vu le document. Maintenant, ils ont multiplié par quatre les menaces pour me faire payer 700 millions F CFA », assène-t-il.
Ainsi poursuivant que « c’est hier matin qu’on m’a téléphoné pour m’annoncer que tous mes comptes bancaires étaient bloqués. Lorsque je suis arrivé, j’ai trouvé un huissier qui me réclame 500 millions de F CFA sous la menace d’une saisine. Il n’y a rien qui montre que nous devons à l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) des centaines de millions », le PDG demande « l’arbitrage du Directeur des impôts, Amadou Bâ qui lui a envoyé des titres de perceptions antidatés » et se dit déterminé à « combattre pour s’opposer au pouvoir qui fait subir sa dictature aux Sénégalais », sur les colonnes du journal « L’Observateur ».
« Le fisc est venu nous rendre visite, il y a cela quelques mois et il nous avait félicité parce que tous les documents étaient bien présentés. Mais bizarrement les agents du fisc ne voulaient pas rentrer bredouille avec les convictions qu’ils vont ramener quelque chose de scandaleux», lâche Sidy Lamine Niasse qui enfonce le clou, «Walfadjri ne doit rien à personne même à l’Ipres, nous avons cotisé. C’est le ministre du budget qui avait dit qu’il allait amnestier la presse (2010). Mais, il fallait trouver quelque chose pour notre compte. Donc, partant de ces éléments, on a répondu et on leur à montrer que nous n’étions pas concernés. Alors, ils m’ont dit qu’ils n’ont pas vu le document. Maintenant, ils ont multiplié par quatre les menaces pour me faire payer 700 millions F CFA », assène-t-il.
Ainsi poursuivant que « c’est hier matin qu’on m’a téléphoné pour m’annoncer que tous mes comptes bancaires étaient bloqués. Lorsque je suis arrivé, j’ai trouvé un huissier qui me réclame 500 millions de F CFA sous la menace d’une saisine. Il n’y a rien qui montre que nous devons à l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) des centaines de millions », le PDG demande « l’arbitrage du Directeur des impôts, Amadou Bâ qui lui a envoyé des titres de perceptions antidatés » et se dit déterminé à « combattre pour s’opposer au pouvoir qui fait subir sa dictature aux Sénégalais », sur les colonnes du journal « L’Observateur ».
Autres articles
-
Guédiawaye : lancement de la deuxième phase du programme Healthy Heart Africa
-
🔴DIRECT - Départ des lions, Affaire Softcare, les chirurgiens dentistes rentrent dans la danse...
-
Le CNRA accorde un sursis à Canal+ pour le retrait de Netflix au Sénégal
-
Saisie record de tramadol à la frontière malienne : deux (02) Nigériens interpellés, 10 510 comprimés saisis
-
Diamaguene Sicap Mbao : un individu kidnappe et tente de violer une fillette de 3 ans




Guédiawaye : lancement de la deuxième phase du programme Healthy Heart Africa


