C'est une stratégie que le Conseil militaire semble adopter. Sous prétexte du blocage, il décrète que les négociations doivent recommencer à zéro et se tenir avec d'autres groupes.
Les militaires poussent au-devant de la scène une nouvelle coalition : des partis politiques et des mouvements armés qui avaient accepté le dialogue avec Omar el-Béchir en 2014.
Dimanche dernier, une réunion a eu lieu entre le Conseil militaire et cette nouvelle coalition qui, au contraire des leaders de l'opposition, ne voit pas d'inconvénients à ce que le Conseil souverain et le gouvernement transitoire soient composés majoritairement de militaires.
Ils ne sont pas non plus hostiles à une période transitoire de seulement un an, au lieu de deux comme le prévoit l'accord entre les militaires et les Forces pour la liberté et le changement.
Plusieurs responsables de l'opposition dénoncent cette tentative d'introduire une coalition restée en retrait du mouvement de contestation. Une manière selon eux, d’imposer la volonté du Conseil militaire au Soudan et de se tenir au pouvoir.
Les militaires poussent au-devant de la scène une nouvelle coalition : des partis politiques et des mouvements armés qui avaient accepté le dialogue avec Omar el-Béchir en 2014.
Dimanche dernier, une réunion a eu lieu entre le Conseil militaire et cette nouvelle coalition qui, au contraire des leaders de l'opposition, ne voit pas d'inconvénients à ce que le Conseil souverain et le gouvernement transitoire soient composés majoritairement de militaires.
Ils ne sont pas non plus hostiles à une période transitoire de seulement un an, au lieu de deux comme le prévoit l'accord entre les militaires et les Forces pour la liberté et le changement.
Plusieurs responsables de l'opposition dénoncent cette tentative d'introduire une coalition restée en retrait du mouvement de contestation. Une manière selon eux, d’imposer la volonté du Conseil militaire au Soudan et de se tenir au pouvoir.
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