
Après la suspension temporaire de l'utilisation de certaines applications digitales au Sénégal, le gouvernement a décidé, ce dimanche 4 juin, de suspendre l’internet des données mobiles. Le RESTIC (Rassemblement des Entreprises du Secteur des Technologies de l'Information et de la Communication) s’oppose à cette décision et demande le rétablissement immédiat des usages et fonctionnalités d'internet.
Dans un communiqué, le RESTIC « s'insurge contre la coupure des usages et fonctionnalités d'internet par les opérateurs et demande à ces derniers de respecter leur engagement contractuel avec les clients et usages ».
« Les coupures de services d'internet imposées à nos concitoyens dans ces périodes d’instabilité politique, l’usage des réseaux sociaux est un préjudice énorme et le contexte politique difficile que vit notre pays ne aurait le justifier. C'est un droit universel reconnu et codifié par les Nations Unies, et le Sénégal ne saurait en déroger », note le RESTIC dans un communiqué.
Le RESTIC appelle donc « l’Etat et les opérateurs au respect de la liberté d'informations à lever toutes les restrictions à la liberté d’usage des plateformes numériques de messagerie instantanée comme garants des libertés économiques, sociales et politiques des citoyens sénégalais ».
Selon le RESTIC, la « transmission des données mobiles assure la fluidité des transactions et de l'activité commerciale dans un pays de micro-activité ».
Le RESTIC appelle « l’Etat et les opérateurs à plus de Concertation danses gestion des urgences en relation avec les moments difficiles que vit notre pays », lit-on dans le communiqué.
Dans un communiqué, le RESTIC « s'insurge contre la coupure des usages et fonctionnalités d'internet par les opérateurs et demande à ces derniers de respecter leur engagement contractuel avec les clients et usages ».
« Les coupures de services d'internet imposées à nos concitoyens dans ces périodes d’instabilité politique, l’usage des réseaux sociaux est un préjudice énorme et le contexte politique difficile que vit notre pays ne aurait le justifier. C'est un droit universel reconnu et codifié par les Nations Unies, et le Sénégal ne saurait en déroger », note le RESTIC dans un communiqué.
Le RESTIC appelle donc « l’Etat et les opérateurs au respect de la liberté d'informations à lever toutes les restrictions à la liberté d’usage des plateformes numériques de messagerie instantanée comme garants des libertés économiques, sociales et politiques des citoyens sénégalais ».
Selon le RESTIC, la « transmission des données mobiles assure la fluidité des transactions et de l'activité commerciale dans un pays de micro-activité ».
Le RESTIC appelle « l’Etat et les opérateurs à plus de Concertation danses gestion des urgences en relation avec les moments difficiles que vit notre pays », lit-on dans le communiqué.
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